Sunday, November 27, 2011

*Les vitrines de Noël, des Grands Magasins Parisiens : Galeries Lafayette*

Noël “Rock’N mode” pour les Galeries Lafayette.

Pour les Galeries Lafayette, le créateur new-yorkais Andrew Yang a réalisé un groupe de rock formé de poupées de chiffon haute couture qui rythme les vitrines hautes en couleur.
Le chanteur britannique Charlie Winston les a dévoilées le 8 novembre 2011.









http://parisinternational.blogspot.com/2011/11/blog-post.html

Bien à vous,
@MorganeBRAVO
http://twitter.com/#!/MorganeBravo
https://twitter.com/#!/EcologieI


*Les vitrines de Noël, des Grands Magasins Parisiens : Printemps*

 Les vitrines de Noël, des Grands Magasins Parisiens :

Un Noël “rêve d’évasion” pour le Printemps...


Pour le Printemps, la mise en scène a été réalisée par Chanel sur le thème du voyage. On y découvre ainsi des villes d’exception, selon les codes de la Maison Chanel : Los Angeles, Londres, New York, Byzance, Paris, Biarritz, Moscou, Venise, Shanghai, Tokyo ou encore le Cap d’Antibes.

Karl Lagerfeld et Vanessa Paradis ont inauguré ces vitrines le 9 novembre 2011.



@MorganeBRAVO

Sunday, October 30, 2011

*Une terrible poétique: Jeunes artistes taïwanais à Lyon*

Après le succès de l’exposition organisée lors de la précédente édition de Docks Art Fair en collaboration avec Olivier Houg Galerie, et le grand intérêt suscité dans le milieu littéraire et artistique lyonnais, le Centre Culturel de Taïwan à Paris a décidé de reconduire son association autour de la Biennale d’Art contemporain de Lyon et d’y présenter des oeuvres majeures d’art plastique de Taïwan pour instaurer un dialogue fructueux avec artistes et acteurs culturels de tous pays.
En écho au titre de la Biennale de cette année, Une terrible beauté est née, c’est sous le titre Une terrible poétique – qu’est présentée l’exposition des artistes taïwanais. Sa conception a été confiée au jeune groupe de l’Open Contemporary Art Center qui l’a articulée en trois section principales:mécanismes de production et de vente de faux-souvenirs de la Biennale;création d’installations et de vidéos pour répondre au titre et à l’objet de la Biennale;et utilisation des caractéristiques topographiques de l’espace pour créer des zones imaginaires. Ce projet vise, par l’exagération et la démesure, à faire éclater le cadre formel des expositions traditionnelles et à montrer comment les artistes taïwanais de la nouvelle génération s’inscrivent dans le système international contemporain de conception d’expositions pour susciter avec lui un dialogue subtil et ambigu.
Exposition du 10 novembre au 12 décembre 2011
Olivier Houg Galerie

45 Quai Rambaud 69002 Lyon
Tél:+33(0)4 78 42 98 50
Fax:+33(0)4 78 37 97 03
Exposition réalisée dans le cadre du programme Résonance de la 11ème Biennale de Lyon 

*Where are we going ?...*

David Coiffier 

A short timelapse movie, that is better to watch than read about ;-)
Image by Pixel's Revenge
Canon DSLR - Lightroom - Shake - Final Cut - Vimeo
Music by Silvano Mercardo (http://mercadofilmmusic.com/Home.html)
If you enjoyed that movie, please visit our facebook page http://www.facebook.com/pixelsrevenge

Bien à vous,

Morgane BRAVO

 

Sunday, October 23, 2011

*Défilé du 14 juillet 2011...*




*Paris-Vision est une visite de Paris sur deux roues, sans roue libre et sans freins...*



Tourné début 2009 pour le Bicycle Film Festival, Paris-Vision est une visite de Paris sur deux roues, sans roue libre et sans freins.
Après avoir tourné dans le monde entier en 2009-2010 lors du BFF, le film est aujourd'hui disponible en ligne.
Tourné peu après l'explosion du mouvement fixie à Paris, il fait presque figure "d'archive" aujourd'hui.
 

***
Shot in early 2009 for the Bicycle Film Festival, Paris Vision is a promenade in Paris without freewheel and brakes.
After being displayed all around the world during the BFF, The movie is now online.

Shot just after the explosion of the fixed gear community in Paris, Paris-Vision is now a sort of archive of 2009.


 

Tuesday, October 18, 2011

*Les nominés français du Festival International du Film Touristique*

Le monde du (e)tourisme a rendez-vous en Alsace aujourd’hui et jusqu’au 19 octobre à l’occasion de la quatrième édition du Festival International du Film Touristique (FIFT). L’objectif du festival est de replacer l’image et l’audiovisuel au cœur de la communication touristique. Des acteurs du tourisme institutionnel y projetteront donc leurs plus beaux films de promotion touristique. A cette occasion, nous avons sélectionné pour vous quelques films de destinations françaises en compétition cette année : la Martinique, la Bretagne, le Berry et enfin la Picardie.

Lequel de ces films vous ferait boucler vos valises au plus vite ?
 




Monday, August 8, 2011

*Cliché ! Version française...*


Liste des stéréotypes de la France et des Français vus de l'étranger.


Bien à vous,
Morgane BRAVO

Friday, July 15, 2011

*Feu d'Artifice du 14 Juillet 2011... Paris*





Bien à vous,
Morgane BRAVO

Saturday, June 25, 2011

Sunday, May 1, 2011

*UN GRAND CONCERT DE SOLIDARITÉ « HAÏTI DEBOUT »‏ : A PARIS*

Anh Dao Traxel, Présidente de l’EEDCM (Etoile Européenne du Dévouement Civil et Militaire)
fille adoptive de Jacques et Bernadette Chirac

UN GRAND CONCERT DE SOLIDARITÉ " HAÏTI DEBOUT

AURA LIEU AU PALAIS DES CONGRES A PARIS, A L'OCCASION DE LA COMMÉMORATION DE LA TRISTE DATE ANNIVERSAIRE DU SÉISME QUI AVAIT FRAPPE HAÏTI ET SES HABITANTS.
BEAUCOUP DE SURPRISES ENTRE AUTRE..

Présentation et animation : Éric Jean Jean de RTL et Phil Darwin.
Marraine de événement Madame Anh Daho Traxel Présidente de l'Étoile Européenne du Dévouement civile et Militaire.

« Haïti Debout »
PALAIS DES CONGRES
PORTE MAILLOT
75017  PARIS 17

Le Palais des Congrès de paris, Le samedi 21 mai 2011 à 20h00


* A savoir

En partenariat avec le Ministère de la Culture et de la Communication, le Service Culturel de l'Ambassade d'Haiti à paris, l'Association Wassa Bouma organise le concert de solidarité pour la commémoration du séisme qui a frappé Haiti et ses habitants le 12 janvier 2010.

Avec le soutien et la présence de nombreux artistes de différents genres musicaux : reggae, world music, variété, jazz et des personnalités tels que Madame Anh Daho Traxel Présidente de l'Étoile Européenne du Dévouement civile et Militaire, Khadel,Chico Castillo"The Gipsy", Alibi Montana, Yves Boisset, Basile Boli, Sorel, David Serero, Canardo, Singuila, Princess Erika, Jessy Matadore, et bien d'autres SURPRISES...
Un beau et noble projet à l’initiative de l’association Wassa Bouma, dont le but est de lever des fonds pour aider à reconstruire l’orphelinat pour des enfants de la rue à Port au Prince, que dirigera l’association « Nos Petits Frères et Sœurs ».
A l’initiative de l’association Wassa Bouma, dont le but est de lever des fonds pour aider à reconstruire un orphelinat pour des enfants en Haiti.

Pour les réservations

POINTS DE VENTE et RÉSERVATION : FNAC, CARREFOUR,  GÉANT, TICKETNET, VIRGIN,  AUCHAN, LECLERC

En souhaitant pouvoir vous rencontrer lors de cet événement.

Pour évaluer l’action humanitaire de l’EEDCM sur le plan National et International, vous pouvez vous rendre sur le site internet de l’Association.

Bien à vous,
Morgane BRAVO

Sunday, April 3, 2011

*Les priorités des maires franciliens...*

Fiscalité et logement sont leurs deux principales préoccupations. Le thème de la sécurité remonte.


A quoi pensent les maires? En pleine campagne des cantonales, le JDD a soumis aux 1.280 édiles d’Île-de-France son questionnaire annuel, afin de sonder leurs préoccupations. Un quart d’entre eux (26,5%) y ont répondu. Il résulte de ce 8e baromètre Amif-JDD* que les "élus préférés" placent toujours en tête de leurs priorités la fiscalité locale, le logement, la petite enfance (crèches, écoles) et la sécurité.
Si le thème du logement semble en léger recul par rapport aux années précédentes (44,2%), il reste l’une des principales sources d’inquiétude pour les maires. Dans les villes de plus de 10.000 habitants, cette question domine même largement toutes les autres (68,3%), devant la petite enfance (45%) et l’emploi (34%).

Loi SRU: pour un durcissement des sanctions

à tel point – c’est une première surprise – qu’une majorité d’élus (50 %) se prononcent en faveur d’un "durcissement des sanctions pour les communes qui n’appliquent pas la loi SRU" – cette loi exige 20 % de logements sociaux dans les villes franciliennes de plus de 1.500 habitants (3.500 dans le reste de la France). à l’inverse, ils sont 46% à se dire hostiles à plus de sévérité. Le clivage est net entre les villes de plus de 10.000 habitants (60 % pour davantage de sanctions, 40% contre) et les petites communes (45% pour, 48,5% contre). "La plupart des grandes villes répondent aux exigences des 20%. Elles trouvent normal que les autres prennent leur part à l’effort sur le logement social. Mais celles-ci ont souvent des raisons tout à fait honorables – manque de terrain, prix du foncier trop élevé… – pour ne pas construire", explique Michel Teulet, président de l’Amif et maire UMP de Gagny (93).
Autre préoccupation: la fiscalité locale (44,2% ; 51% dans les communes de moins de 5.000 habitants). De nombreux maires ont augmenté leurs impôts en 2009 et 2010 – après les municipales de 2008 – "pour financer l’aide sociale". 63% d’entre eux estiment que la crise économique a eu un impact sur leur fiscalité locale et 52,8% sur leur politique municipale. "Les maires ont souvent le sentiment de ne pas avoir suffisamment la maîtrise de leurs recettes, qui proviennent souvent de dotations de l’état", ajoute Michel Teulet. D’ailleurs, leurs principaux motifs d’insatisfaction restent la lourdeur administrative (40,4%) et l’autonomie financière insuffisante (31,9%).
Le thème de la petite enfance (40,7%) rétrograde d’année en année, au profit de la sécurité (35,7%) qui regagne peu à peu du terrain ; surtout dans les villes moyennes – de 5.000 à 10.000 habitants – où elle arrive en première position (48,5%). L’emploi inquiète les maires des grandes villes, alors que les déplacements accaparent davantage les plus petites communes. Peut-être parce qu’elles se sentent exclues du Grand Paris… Et 62,5% des élus des localités de moins de 5.000 âmes citent le Grand Paris en tête des thèmes "les moins prioritaires". En revanche, ceux des villes de plus de 10.000 habitants approuvent à 61% l’accord état-Région – 32,4 milliards d’euros – sur le futur métro automatique du Grand Paris et la modernisation du réseau existant. Ces premiers magistrats pensent que les "volets manquants" du Grand Paris sont le logement (21,2%) et l’emploi (18,9%). Et si certains ressentent un désamour, ils conservent encore le sentiment d’être "l’élu préféré" de leurs administrés: 72,8%, contre 81,8% en 2010.
*L’Association des maires d’Île-de-France (Amif) organise ses assises 2011 les 5, 6 et 7 avril, au Parc floral du bois de Vincennes. Au programme: la santé dans nos villes et nos campagnes, le numérique, la solidarité financière
en Île-de-France, les drogues, l’intercommunalité.

Bertrand Gréco - Le Journal du Dimanche
02 Avril 2011
Bien à vous,
Morgane BRAVO 

Monday, March 28, 2011

*Comment Martine AUBRY se sert des jeunes comme tremplin pour sa carrière ?


Cliquez sur le bandeau et commentez
Martine AUBRY, Première secrétaire du Parti Socialiste, au milieu des
années 90 a été victime de la vague bleue. Quelle dure époque pour la
Gauche qui accumulaient les défaites !!! La pauvre Martine était 
alors une ancienne ministre à la dérive, sans circonscription, ni
même de mandat local.

Il lui fallait alors trouvé une idée pour redorer son lustre et faire
un coup d’éclat. Après une longue réflexion, Martine pensa rapidement
aux jeunes de la banlieue dite sensible de Vaulx-en-Velin. Choix bien
calculé après les premières émeutes urbaines qui braquaient toutes 
les caméras sur cette commune de la périphérie lyonnaise.

Martine se découvrit une fibre sociale et une conscience politique en
faveur de la jeunesse et créa l’association la FACE (Fondation Agir 
Contre l’exclusion). 

Elle décide de s’associer à l’humoriste Guy BEDOS et le metteur en
scène Didier VIGNALI afin de monter l’opération « Quartier libre ».
Cette dernière devait permettre à 12 jeunes des quartiers en échec 
scolaire, de monter un spectacle dont le thème était la banlieue. 

Les médias de l’époque criaient au génie, ils encensaient les Malika,
Véronique, Hayet ou Kheira qui pour leur première se sont produits à 
la Cigale. Martine AUBRY était portée au nu, car était la seule femme
politique à s’intéresser à cette jeunesse dont personne ne parlait. A
chacune de ses sorties avec la troupe, elle avait « une caméra
greffée dans le cul » comme dit aujourd’hui Guy BEDOS, autre parrain
de l’opération.

Seulement cela n’allait pas durer, la politique repris le dessus. Dès
1997, objectif atteint, elle redevient Ministre au sein du 
Gouvernement de cohabitation de Lionel JOSPIN. 

N’ayant donc plus besoin de ces bonnes poires, elle se désengagea en
catimini de la troupe et les abandonna lâchement. Ainsi, plus de 
subvention, plus de plateaux de télé, plus de salles parisiennes, le
retour sur terre fût brutal. La troupe faute de moyens à dû être 
dissoute et les jeunes qui la formaient ont été dispersés dans la
nature. 

Cet épisode montre une fois de plus que la Gauche se moque des
jeunes. Notre génération est pour elle qu’un alibi qui doit lui
permettre le retour au pouvoir. 


Wednesday, March 23, 2011

*BREF APERCU : Soirée Débat..." Le Web : tout est-il si NET ? "*

*Photos : Copyright© Morgane BRAVO*

Dans le cadre de la réflexion pour l’année 2011, « Nouvelles libertés, nouvelles sécurités », le Club 89 organise une série de soirées-débats mensuelles, réunissant des personnalités et experts de la société civile ainsi que de la sphère publique, qui viendront débattre sur des thématiques variées, dont les enjeux sont particulièrement cruciaux pour l’avenir de notre société. La teneur de ces soirées-débats, les pistes de réflexion et d’action qu’elles auront ouvertes, seront diffusées à travers des revues numériques.
 
Soirée débat du :

mardi 22 mars 2011 à 19h15

au Divan du Monde, 75 rue des Martyrs 75018 PARIS


qui a eu pour thème :

" Le Web : tout est-il si NET ? "

Intervenants :

- Jean-Marie COLOMBANI, co-fondateur et directeur de publication du magazine en ligne Slate.fr ; ancien directeur du journal Le Monde de 1994 à 2007.

- Marc MOSSÉ, Directeur des affaires Publiques et Juridiques de Microsoft France. Fondée en 1983, elle est aujourd’hui une des premières filiales de Microsoft dans le monde avec 1 700 collaborateurs. Attaché à sa démarche partenariale originelle, Microsoft France génère avec son écosystème environ 75 000 emplois au cœur de l’économie du logiciel et de l’Internet au service de la société numérique française.

- Justine ATLAN, Directrice de l'association e-enfance, association reconnue d'utilité publique, qui sensibilise sur les risques d’Internet vis-à-vis des enfants, et conseille les parents dans l’exercice de leur autorité en tant que « cyberparent ».

- Benjamin SONNTAG, Cofondateur de la Quadrature du Net. Organisation de défense des droits et libertés des citoyens sur Internet, elle promeut une adaptation de la législation française et européenne qui soit fidèle aux valeurs qui ont présidé au développement d'Internet, notamment la libre circulation de la connaissance.

en présence de :

- Benoist APPARU, Secrétaire d’Etat chargé du Logement, Président du Club 89




"POUR DE NOUVEAUX DROITS DANS L'ESPACE NUMERIQUE : UNE AUTORITE UNIQUE DU NUMERIQUE ET UN OMBUDSMAN NUMERIQUE"

*"Internet est un formidable vecteur de liberté et de croissance, qui a envahi tous les pans de notre vie et de notre société, modifiant nos modèles de communication et d’échange, dévoilant de nouvelles marges pour nos économies – la filière de l’internet a représenté un quart de la croissance française en 2010 -, révélant de nouvelles sphères d’expression, comme nous l’avons vu lors des révolutions arabes. Pourtant, nous ne sommes qu’à l’aube d’une société numérique, c’est-à-dire d’une société qui a pleinement investi l’espace numérique en s’y sentant protégée dans ses droits.  
Et si justement la confiance dans l’économie numérique, c’est-à-dire la poursuite de sa croissance, passait par une plus grande confiance de la société dans ses usages quotidiens ? Pour cela, il est nécessaire que de nouvelles libertés soient garanties, et que de nouvelles sécurités apparaissent ; il est évident que les droits des individus doivent être pleinement respectés ; il est indispensable que des règles claires et simples s’imposent sur tous les supports. L’espace numérique n’est pas différent, il n’est pas virtuel : ce sont les mêmes valeurs démocratiques, ce sont les mêmes droits qui doivent s’y appliquer. C’est cette conviction qu’ont exprimé Jean-Marie Colombani, fondateur de Slate.fr, Marc Mossé, directeur des affaires juridiques et institutionnelles de Microsoft, Justine Atlan, directrice de l’association e-enfance, et Benjamin Sonntag, cofondateur de l’association la Quadrature du Net, qui participaient mardi 22 mars au débat organisé par le Club 89.

Si nous sommes d’accord, se pose le problème de leur applicabilité dans ce nouvel univers. L’un des problèmes auxquels nous sommes confrontés, outre le volet international des droits dont le Président de la République a fait un thème de travail du G8 de mai prochain, c’est le décalage permanent entre l’évolution des usages et notre capacité à produire des règles partagées. Le temps d’internet n’est ni celui de la législation, ni celui de la justice, ni celui de l’appropriation individuelle.
Ainsi, certaines problématiques mises en avant dans un premier âge de l’internet sont aujourd’hui en passe d’être dépassées. Les usages se déplacent vers des écosystèmes complets et fermés, qui proposent des messageries, des contenus sélectionnées en fonction du profil personnel, de la géo localisation et du commerce électronique, voire des plateformes de téléchargement légal intégrées. Dans ce cadre, les questions les plus importantes ont trait à la privatisation et à l’utilisation commerciale des données privées, à la protection de la vie privée, à la liberté de choix et d’accès. Autre exemple, les différenciations en termes de support, qui commandent encore l’architecture de notre législation, peuvent brutalement être remises en cause par une nouvelle technologie qui se développe rapidement. Dans le cas des téléviseurs connectés, les mêmes contenus peuvent apparaître à l’écran en étant soumis à des régulations et des obligations très différentes selon leur mode de diffusion. Nos concitoyens ne comprennent plus qu’il y ait ce type de différence là où il n’en voit plus. C’est pourquoi il est nécessaire de partir des attentes sociales en matière de droits sur internet, et pas des supports.
Pour résorber ce fossé entre les attentes de nos concitoyens, leur ressenti, leurs usages, et la réalité de la législation, il ne faut plus concevoir celle-ci comme un ensemble de règles précises qui viendraient régir chaque nouveau développement d’internet, et se trouverait vite dépassées, mais comme l’affirmation de principes valables quels que soient les usages et quelles que soient nos technologies, sur tous les supports, pour tous les médias. Les grands principes relatifs aux contenus – la déontologie, la protection des mineurs, création, etc. -, les grands principes relatifs à l’accès – la liberté de choix et d’accès, la protection de la vie privée, etc. -, les grands principes de liberté économique – libre concurrence, respect du droit d’auteur, etc. - doivent constituer un socle législatif commun. Il appartiendrait à une autorité de régulation de préciser l’application concrète de ces principes en fonction des différents supports et des différentes technologies, afin de parvenir à une approche globale et cohérente, quoique différenciée, sur ces sujets – contenus, accès, économie. Cette autorité pourrait naître de la fusion des autorités existantes dont l’activité concernant le numérique est de plus en plus importante – le CSA, l’ARCEP et HADOPI - et constituer une véritable Autorité du numérique, souple et réactive, soumise au contrôle parlementaire. Une telle autorité pourrait travailler en lien permanent avec le Conseil national du numérique qui représente les professionnels, afin de parvenir au meilleur équilibre possible entre croissance et confiance.
Ensuite, il ne suffit pas que les règles existent, encore faut-il qu’elles soient appliquées et simples d’accès pour nos concitoyens, qui ont l’impression croissante que leurs droits individuels ne sont pas toujours respectés sur internet. Si aujourd’hui l’arsenal juridique existe, si les procédures sont mises en place, il serait faux de prétendre qu’elles sont simples d’accès, ou même que les demandes enregistrées sont toujours traitées, que ce soit par les pouvoirs publics ou par les professionnels du secteur. Bien évidemment, il ne s’agit pas de remettre en cause le rôle fondamental de la justice, mais de faciliter l’accès aux procédures existantes, d’offrir une médiation, notamment pour les questions de vie privée, dont le respect est la marque des régimes démocratiques. La CNIL a été en pointe dans la défense de la vie privée sur internet depuis plusieurs années, et vient de montrer sa capacité à enquêter et à agir en condamnant l’un des acteurs majeurs d’internet pour la collecte illégale de données personnelles. Il faudrait renforcer son rôle, en lui donnant un véritable rôle d’Ombudsman numérique, qui serait chargé de veiller au respect des droits des individus et des entreprises, de faciliter leurs relations avec la police et la justice autant qu’avec les professionnels de l’internet. Ce nouveau rôle dévolu à la CNIL permettra de faciliter l’exercice et la protection des droits de chacun ; il facilitera aussi le lien entre l’application de droits nationaux ou européens par des entreprises dont le pays d’origine peut appliquer des législations différentes. Comme l’a souligné la Commission européenne, en matière de respect de la vie privée, c’est le droit du pays de l’utilisateur doit être pris en compte.
Enfin, il est nécessaire de donner à nos concitoyens l’impression qu’ils peuvent maîtriser et comprendre l’information et le traitement des données personnelles les concernant directement. Cela signifie que les entreprises de l’internet doivent faire un effort majeur de transparence, en affichant de manière actualisée la nature des données qu’elles collectent et l’utilisation commerciale qui en est faite. Chaque citoyen doit aussi pouvoir agir sur les informations mises en ligne le concernant. Le développement d’une carte de visite numérique, qui serait créée par chaque internaute et recenserait les informations personnelles qu’il souhaite mettre en avant, la photographie qu’il désire utiliser, etc., pourrait y répondre si cette carte de visite était par principe le premier résultat qu’affichent les moteurs de recherche quand la requête porte sur un nom propre. Ainsi chaque personne pourra être au moins maître de la première information disponible sur lui-même sur internet.
La création d’un Ombudsman numérique au sein de la CNIL, d’une autorité de régulation unique rassemblant les autorités sectorielles, ainsi que le renforcement de la transparence sur les données personnelles sont de nature à permettre à la société de considérer l’univers numérique non comme un monde parallèle mais comme le monde réel, où les mêmes types de droits et de devoirs s’appliquent.

Benoist APPARU,
Président du Club 89,
Secrétaire d’État chargé du logement" *
www.club89.org 
A SUIVRE...!
 Bien à vous,
Morgane BRAVO

*Japon : Paris met en place un dispositif d'aide...*

crédits : Flickr (CC by RobertoMaxwell)
Suite à la terrible catastrophe qui frappe le Japon, la Ville de Paris s'associe à quatre grandes ONG pour mettre en place un dispositif de collecte de dons en faveur des populations sinistrées. Toutes les infos pour faire un don en ligne ou directement en mairie d'arrondissement à partir du vendredi 18 mars.

Communiqué de Bertrand Delanoë
Après le terrible séisme qui a frappé le Japon, je tiens  à redire, au nom de tous les Parisiens,  ma solidarité et mon amitié sincère à la population japonaise si durement atteinte. Je pense également à tous les Japonais de  Paris, inquiets pour leurs familles et ceux qui leur sont chers.

La Ville de Paris  a décidé de s'associer à 4 grandes ONG - la Fondation de France, la Croix-Rouge française, le Secours populaire et le Secours catholique - pour mettre en place un dispositif adapté à la collecte de dons en faveur des populations sinistrées.

Dès aujourd'hui, il sera possible pour tous les Parisiens qui le souhaitent de faire, à partir du site Paris.fr, des dons en ligne à l'une de ces 4 associations.

A partir du vendredi 18  mars, des urnes seront  mises à disposition  dans  chaque mairie d’arrondissement  afin d'assurer la collecte des dons. Ils se feront  uniquement par chèques libellés à l’ordre de l’une de ces ONG  et le nom de celle-ci  devra être reporté sur l’enveloppe.
Faites un don en ligne
Fondation de France
http://www.fondationdefrance.org/
Croix Rouge
http://www.croix-rouge.fr/
Secours Populaire 
http://www.spf75.org/
Secours Catholique
http://www.secours-catholique.org

Bien à vous,
Morgane BRAVO

Thursday, March 17, 2011

*Les associations d'insertion craignent pour leurs budgets...*

Coupes sombres dans l'aideaux quartiers en difficulté

Le gouvernement vient d'annoncer d'importantes baisses des moyens dédiés à la politique de la ville, via les contrats urbains de cohésion sociale (Cucs). Hérouville-Saint-Clair, qui est l'une des principales bénéficiaires dans le Calvados de ces crédits pour quartiers en difficulté, va en souffrir tout particulièrement. « Notre dotation baissera de 40 %, soit 130 000 € au moins », se désole le maire, Rodolphe Thomas. Il vient d'écrire au ministre de la Ville pour avoir des explications.

Les associations en première ligne
Les associations hérouvillaises qui interviennent dans le domaine de l'insertion professionnelle, de la formation, de l'accès au droit, à la culture ou à l'éducation, de la lutte contre l'illettrisme, etc. sont particulièrement touchées puisque tout ou partie de leur budget de fonctionnement provient de ces crédits dits « Cucs ». « Une enveloppe globale est allouée à chaque ville signataire d'un contrat urbain de cohésion sociale. Des priorités sont fixées selon les quartiers », indique-t-on en mairie. Les associations soumettent ensuite leurs projets d'actions et entrent ou pas dans le dispositif de financement Cucs.

Un gâteau bien moins gros
Seulement voilà, pour 2011, le gâteau à se partager risque d'être beaucoup moins gros. « On va essayer de maintenir au maximum notre soutien à l'action dans les quartiers, indique Rodolphe Thomas. Mais la baisse des crédits nous oblige malgré tout à des arbitrages draconiens. » La Ville veut réunir les associations la semaine prochaine pour réfléchir au meilleur scénario.

Inquiétude chez Asmodu
Asmodu prépare des stagiaires à l'obtention du permis de conduire, travaille sur la prévention des addictions, le rapport à la loi... Son directeur, Gilbert Nicollet, a appris hier que le financement de son association n'était pas assuré à partir de l'automne. « Notre travail avec les stagiaires actuels est financé jusqu'en octobre. Ce qui est plus incertain, c'est notre capacité à accueillir un nouveau groupe de gens à la rentrée », s'inquiète-t-il. Depuis sa création, il y a trois ans, Asmodu a accompagné trois groupes de 21 stagiaires. Ces personnes payent un droit d'entrée de 120 €. « Chaque année, le contrat urbain de cohésion sociale finance l'aide à 15 des 21 stagiaires et le conseil général aux six autres », poursuit Gilbert Nicollet. L'association emploie un salarié à Hérouville et deux à Cherbourg.

Dix emplois dans la balanceà La voix des femmes
La voix des femmes est elle aussi en première ligne des associations qui risquent de vaciller avec cette baisse des crédits d'État. « Le financement CUCS qui nous est attribué actuellement est de l'ordre de 53 000 €. Si les 40 % de baisse s'appliquent, nous perdrions donc 21 000 €. C'est considérable », s'alarme Évelyne Gaillet. La vice-présidente de La voix des femmes y voit un double problème : « D'abord, comment fait-on pour garder les dix personnes que l'on emploie ? Ensuite, comment aide-t-on tous ces gens hors circuit qui ont besoin de nous pour reprendre pied dans la société ? On nous prive d'agir au moment où les besoins sont en croissance exponentielle. » Elle le martèle : « Il nous faut réagir collectivement si nous ne voulons pas être les premiers à payer le prix du désengagement de l'État. »
02 février 2011 


http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Les-associations-d-insertion-craignent-pour-leurs-budgets-_14327-avd-20110202-59828628_actuLocale.Htm 

Bien à vous,
Morgane BRAVO

Monday, February 21, 2011

*Le « RenDez-Vous » québécois de France Culture...*

 


  
 







Pour souligner le 50e anniversaire de la Délégation générale du Québec à Paris et cinquante ans d’échanges entre la France et le Québec, France Culture installe du 21 au 25 février son « RenDez-Vous » au cœur du Quartier des spectacles de Montréal, à l’occasion de la 12e édition du festival Montréal en lumière et des 29es Rendez-vous du cinéma québécois.

En cinq jours et cinq émissions enregistrées en public et diffusées en direct, le présentateur Laurent Goumarre et son équipe proposeront un panorama de la création québécoise actuelle en recevant des artistes, acteurs culturels et figures médiatiques du Québec, dans le tout nouveau Grand foyer culturel de la Place des Arts, qui aura été officiellement inauguré quelques heures avant le premier « RenDez-Vous » le lundi 21 février 2011.

Entrevues croisées, portraits, chroniques tenues par des éditorialistes québécois et sessions de musique en direct sont au programme de l’émission, en plus du journal de la culture, diffusé à partir de la France, qui consacrera ses manchettes aux actualités culturelles québécoises.

L’émission, exceptionnellement prolongée de 30 minutes, sera diffusée du lundi au vendredi, de 19h à 20h30, heure française (13h à 14h30, heure du Québec), sur les ondes de France Culture et sur Internet en direct, puis disponible à la réécoute et en baladodiffusion sur franceculture.com.

« Je suis très heureux que la chaîne France Culture, avec toute la curiosité et l’exigence qu’on lui connaît, dépêche au Québec l’équipe du « RenDez-Vous » pour proposer à ses auditeurs un portrait contemporain et original de la culture québécoise. » a déclaré le délégué général du Québec à Paris, Michel Robitaille. « Cette incursion en terre québécoise de France Culture témoigne d’une complicité qui ne cesse de s’enrichir entre nos deux peuples depuis 50 ans. »

La Délégation générale du Québec a 50 ans !

Inaugurée en 1961 par le premier ministre Jean Lesage et le ministre de la Culture André Malraux, la Délégation générale du Québec à Paris a joué un rôle central dans la construction de la relation directe et privilégiée entre le Québec et la France. Tout au long de l’année 2011, plusieurs manifestations souligneront les 50 ans de cette relation audacieuse. La programmation qui sera dévoilée à la fin mars sera disponible et régulièrement mise à jour sur le site www.quebec.fr/50

 
Bien à vous,
Morgane BRAVO

Sunday, January 23, 2011

*BREF APERCU : "Voeux Jeunes Populaires" Intervention de Jean-François Copé...*

 "Voeux des Jeunes Populaires" avec l'Intervention de Jean-François Copé...
le 12 janvier 2011, 
au siège de l'UMP, à Paris

Jean-François Copé aux Jeunes Populaires :

«Soyez créatifs, audacieux et courageux»

*L'Observatoire des mensonges de la gauche*









Bien à vous,
Morgane BRAVO


Tuesday, January 18, 2011

*Une politique économique à visage humain... Jean Sarkozy!

Depuis le premier mai 1968, date officielle de création des Hauts-de-Seine, l’essor économique de notre département ne s’est jamais démenti. Avant même que leurs homologues de la petite couronne ne se penchent sur la question, les élus de la majorité départementale du conseil général, par la voix de leurs présidents successifs, se sont employés à rechercher les moyens de compenser la disparition progressive et inéluctable des emplois industriels. Ils se sont saisis de tous les moyens à leur disposition pour promouvoir l’attractivité de notre territoire en direction des grandes entreprises du secteur de l’économie marchande et de celui des services. Notre département, mieux que les autres, a ainsi réussi à maintenir un taux d’emploi supérieur à tous les autres départements de la petite couronne. Quarante années de politique volontariste ont permis de faire des Hauts-de-Seine une puissance économique de premier plan.
Pourtant, parallèlement à cette dynamique, s’est développée « à bas bruit » une offre complémentaire de services qui est venue, pas à pas, compléter le vivier d’emplois départemental. Cette offre résulte de l’implantation sur notre territoire d’entreprises du secteur de l’économie sociale et solidaire.
Mon propos n’est pas ici d’expliquer en quoi ce secteur de l’économie se distingue des autres. Tout alto-séquanais a pu, un jour, bénéficier de ses services : la plupart des chèques déjeuners, peut-être notre banque, notre mutuelle, notre assurance mais aussi la maison de quartier, l’association sportive ou le club de danse de nos enfants en font partie. Et chaque année, sans vraiment en avoir conscience, nous faisons davantage appel aux entreprises qui le constituent : aujourd’hui notre formation, demain une aide à domicile, après-demain la gestion de la dépendance de nos anciens…
C’est pour cela que j’ai souhaité voir l’assemblée départementale se saisir de la question de l’avenir de cette composante de notre économie.
Depuis près d’un an, un groupe de travail se réunit régulièrement au conseil général. Sa mission : explorer toutes les initiatives devant permettre de renforcer l’essor de ce secteur et donc de favoriser une politique de promotion de l’emploi social.
D’ores et déjà, plusieurs résolutions ont été prises : inclure des clauses sociales dans 10 % des marchés publics départementaux, promouvoir à hauteur de 6 M€ l’insertion par l’économique, accompagner le développement du micro crédit, organiser le premier forum départemental du secteur…
Aujourd’hui se tient la première réunion du conseil départemental de l’économie sociale et solidaire. Elle a pour objet d’en définir les objectifs opérationnels, les ressources en expertise et les méthodes de travail à retenir.
Car nous irons très loin dans l’action : dans une économie mondialisée, le territoire devient paradoxalement le principal théâtre des initiatives sociales et solidaires. Nous devons créer les conditions qui permettront d’offrir à tout porteur de projet les moyens de concrétiser ses idées.
Le dynamisme de notre département réclame de nouveaux leviers pour inscrire durablement l’économie sociale et solidaire dans le paysage alto-séquanais. Je souhaite que l’occasion nous soit donnée d’encourager l’installation, sur des sites stratégiques du département, d’incubateurs et de pépinières d’entreprises solidaires.
Il est grand temps que les Hauts-de-Seine renouent avec ce qui a fait sa renommée : une politique économique à visage humain.
17 Janvier 2011
Bien à vous,
Morgane BRAVO

Sunday, January 9, 2011

*BREF APERCU : Colloque « Un an après la disparition de Philippe Séguin »*


*Colloque :
Un an après la disparition de Philippe Séguin...

François FILLON
Premier Ministre
et Bernard ACCOYER
Président de l’Assemblée Nationale
ont organisé
le vendredi 7 Janvier 2011
un Colloque

PHILIPPE SEGUIN
La politique : « Une affaire de volonté » 

à l’hôtel de Lassy
Présidence de l’Assemblée Nationale

*BREF APERCU* 
 
 
Bien à vous,
Morgane BRAVO

Saturday, January 8, 2011

*Participez aux réunions publiques : Transport...GRAND PARIS*

Forme la plus simple et la plus directe de s'engager dans le débat public, chacun peut y poser des questions et/ou formuler une opinion. Chaque intervention doit avoir une durée raisonnable et être argumentée. Tous les propos tenus sont enregistrés et mis à la disposition du public par la CPDP. Les réunions publiques, ouvertes à tous sans invitation, auront lieu sur l'ensemble des communes d'Ile de France.

Consulter le calendrier des débats
Si vous ne pouvez pas vous déplacer aux réunions, la CPDP prévoit la retransmission des réunions publiques et thématiques en direct via son système de diffusion en ligne sur la page d'accueil de ce site.
 
Le 10/01/2011
Réunion de proximité
BOULOGNE-BILLANCOURT - Salle du carré Belle-feuille
20h
Le 10/01/2011
Réunion de proximité
CHEVILLY-LA-RUE - Théâtre André Malraux
20h
Le 11/01/2011
Réunion commune avec la CPDP Arc Express
SAINT CLOUD - Salle du Grand Livre-Carré
20h
Le 12/01/2011
Réunion commune avec la CPDP Arc Express "Financement"
Hôtel Méridien Étoile - Paris
20h
Le 13/01/2011
Réunion commune avec Interconnexion Sud LGV
ORLY - Centre Culturel Louis Aragon
20h
Le 13/01/2011
Réunion de proximité
SAINT-OUEN - Salle des fêtes Barbara
20h
Le 17/01/2011
Réunion commune avec la CPDP Arc Express
ROSNY-SOUS-BOIS - Centre commercial Rosny 2/UGC Ciné Cité
20h
Le 17/01/2011
Réunion de proximité
BECON-LES-BRUYERES - Salle Le Vigny Quartier des Bruyères
20h
Le 18/01/2011
Réunion de proximité
ARGENTEUIL-BEZONS - Salle Pierre Dux à Argenteuil
20h
Le 18/01/2011
Réunion de proximité
LE KREMLIN BICETRE - Espace André Maigné, Salle municipale
20h
Le 19/01/2011
Réunion de proximité
CLICHY-LA-GARENNE - PARIS PONT CARDINET - École Victor Hugo - Clichy-la-Garenne
20h
Le 19/01/2011
Réunion de proximité
Gif-sur-Yvette (Plateau de Saclay) - Supélec - Gif-sur-Yvette
20h
Le 19/01/2011
Réunion de synthèse territoriale
LE BLANC-MESNIL - Gymnase Auguste Delaune
20h
Le 20/01/2011
Réunion de proximité
VILLIERS-SUR-MARNE - Salle Georges Brassens
20h
Le 24/01/2011
Réunion de synthèse territoriale
CHATILLON - Théatre de Châtillon
20h
Le 26/01/2011
Réunion de synthèse territoriale
NOGENT-SUR-MARNE - Pavillon Baltard
20h
Le 27/01/2011
Réunion de synthèse territoriale
SURESNES - Salle des fêtes
20h
Le 31/01/2011
Réunion commune de clôture avec la CPDP Arc Express
Palais des Congrès de Paris - Amphithéatre Bordeaux - Paris
20h



Bien à vous,
Morgane BRAVO