Friday, October 30, 2009

***116 chefs d'entreprise bretons en Tunisie...***

***Depuis 10 ans, le MEDEF Ile-et-Vilaine organise ses rencontres internationales. L'occasion pour ces chefs d'entreprise bretons de découvrir ce qui se fait ailleurs et d'envisger des perspectives de business à l'international. MEDEF TV les a accompagnés en Tunisie, entre conférence, rencontres one to one et visites d'entreprises.











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Source MEDEFtv

*Interview de Xavier Bertrand après son voyage en Chine*

*Michel Onfray : "Le débat de l'identité nationale n'est pas réservé à la droite"...*


***Le prochain débat annoncé par le gouvernement sera celui de l'identité nationale. L'identité française. Que l'on retrouve aujourd'hui dans l'intitulé d'un ministère. La création du ministère de l'immigration et de l'identité nationale était une des promesses de campagne de Nicolas Sarkozy. En 2007, le candidat déclarait: "Parler de l'identité nationale ne me fait pas peur", même si "pour certains c'est un gros mot. (...) Je ne veux pas laisser le monopole de la nation à l'extrême droite. Je veux parler de la nation française parce que je n'accepte pas l'image qu'en donne Jean-Marie Le Pen."

Le ministère a finalement été créé le 18 mai 2007 dès le premier gouvernement Fillon sous l'intitulé complet de "ministère de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire". L'identité nationale, une affaire politique ou philosophique ? En réclamant le débat, Eric Besson a suscité un tollé dans l'opposition qui y a vu un thème emprunté à l'extrême droite. Pour le philosophe et écrivain Michel Onfray c'est au contraire une bonne occasion de se réapproprier le débat et de dire que l'identité nationale "est une certaine conception de la République qui fait preuve d'ouverture et de solidarité".

Nouvelobs.com : Existe-t-il une identité nationale française ?

- Michel Onfray : Oui, cela me parait évident. C'est l'histoire de la France. C'est un enjeu de société, c'est un enjeu d'histoire, c'est un enjeu politique aussi. Je trouve cela très bien de prendre la balle au bond et de montrer qu'il y a des définitions différentes et divergentes de l'identité nationale. Pour moi, il y a deux façons de concevoir l'identité. Celle de l'identité du sang, de la race et l'autre de la raison et de l'intelligence. Donc je trouve très bien de dire ce qu'est la France et comment elle fonctionne. Et ce n'est pas parce que la droite et l'extrême-droite ont défini une certaine idée de l'identité de la France, qu'il faut leur laisser dire. C'est une bonne occasion de dire que la France c'est la Révolution française, c'est une certaine conception de la République qui fait preuve d'ouverture, de solidarité et de fraternité.

Que reste-t-il de cette identité nationale aujourd'hui ?

- Je crois qu'elle est mal en point parce que justement nous avons laissé cette question là à la droite et à l'extrême-droite. Et que la gauche considère que le simple fait de parler d'"identité nationale", cela revient à utiliser le langage de l'extrême-droite. Ce qui n'est pas vrai. Quand l'Abbé Grégoire, par exemple, réfléchit au statut des Juifs dans la France lors de la révolution française, ce n'est pas un travail de droite. C'est plutôt un travail de gauche. Si on refuse le débat, il n'y aura de définition que celle de l'extrême-droite, c'est-à-dire la définition raciale.

L'Etat a-t-il un rôle à jouer dans la construction de l'identité nationale ?

- Non, je ne crois pas que ce soit à l'Etat de participer à la construction de l'identité nationale. C'est aux partis politiques, aux citoyens, aux philosophes, aux sociologues de faire un grand débat. L'Etat peut offrir des structures symboliques, comme la Sorbonne ou le Collège de France pour accueillir toutes les idées. Et faire se rencontrer des personnes qui ont leur définition de l'identité nationale. Moi, je suis preneur du débat pour montrer qu'il n'est pas le domaine réservé de la droite.

Peut-on encadrer l'identité nationale ?

- Cela dépend de la conception qu'on a de l'identité nationale et des personnes qui sont au pouvoir. Si vous êtes au pouvoir et que vous avez une conception de l'identité nationale qui est raciale, voire raciste, cela ne produira pas le même type d'effet que si vous êtes au pouvoir avec la conception de l'identité nationale héritée des Lumières. Si Eric Besson veut un débat, je trouve qu'il a raison. Maintenant s'il veut un débat de manière populiste en allant chercher ce qu'il a de plus bas chez les gens en secouant le racisme qui dort en nous souvent, effectivement cela va être problématique. S'il s'agit de prendre le peuple à témoin pour une définition de l'identité nationale, on ne va pas produire quelque chose de bien intelligent. Il ne s'agit pas de dire "regardez vos viscères et dites nous ce que vous en pensez".

Interview de Michel Onfray par Sarah Diffalah
Nouvelobs
27 octobre 2009

***L'identité nationale, une affaire politique ou philosophique ? :

*IDENTITE*
3. Psychol. Identité personnelle, caractère de ce qui demeure identique à soi-même. Problème psychologique de l'identité du moi. Crise d'identité.
▫ Identité culturelle : ensemble de traits culturels propres à un groupe ethnique (langue, religion, art, etc.) qui lui confèrent son individualité; sentiment d'appartenance d'un individu à ce groupe. ➙ acculturation, déculturation. Identité nationale*.
Polit. Qui incarne ou prétend incarner et servir avant tout sa nation (en se défiant de toute tendance internationaliste). « Tout ce qui est national est nôtre » (slogan de Maurras). Les partis nationaux. N. Les nationaux.
▫ Au Québec, anciennt Parti de l'Union nationale (1935-1988), fondé par M. Duplessis. Membre de l'Union nationale. ➙ unioniste.
(Le Petit Robert)

*NATIONAL (ALE)*
1.(répandu fin XVIIIe) Qui appartient à une nation (2° et 3°), qui a pour objet une nation, particulièrement celle à laquelle on appartient (opposé à étranger, à international). Territoire national. Hymne national. Fête nationale. Industrie, production, richesse nationale. Produit national brut (➙ P. N. B.). Gloire nationale. Plat national. Spécialt Langue nationale : langue d'un groupe ethnique dont l'usage est légalement reconnu dans l'État auquel appartient ce groupe (à distinguer de langue officielle). Armée nationale, composée de citoyens (et non de mercenaires ou de volontaires étrangers). Identité nationale : sentiment d'appartenance d'un individu à une nation.
3. Qui est issu de la nation (4°), qui la représente ou l'exprime. « nous sommes ici par la volonté nationale » (Mirabeau). Victor Hugo, notre grand poète national.
4. N. (1787) Personne qui possède telle nationalité déterminée. Les nationaux et ressortissants français.
(Le Petit Robert)

*NATION*
1. Vx Groupe d'hommes auxquels on suppose une origine commune. « des nations d'hommes d'une taille gigantesque » (Rousseau). ➙ race.

Groupe humain, généralement assez vaste, qui se caractérise par la conscience de son unité (historique, sociale, culturelle) et la volonté de vivre en commun. ➙ peuple. Nation civilisée, policée. « Le peuple français est […] mieux qu'une race, c'est une nation » (Bainville). « Essai sur les mœurs et l'esprit des nations », ouvrage de Voltaire.

Ensemble des individus qui composent ce groupe. ➙ population. « cette partie de la nation qu'on nomme la bourgeoisie » (Hugo). Les vœux de la nation.
u Dr. Personne juridique constituée par l'ensemble des individus composant l'État, mais distincte de ceux-ci et titulaire du droit subjectif de souveraineté. « Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation » (Déclaration des droits de l'homme).
(Le Petit Robert)

*SOCIOLOGIE*
La sociologie est une science qui cherche à comprendre et à expliquer l'impact du social sur les représentations (façons de penser) et comportements (façons d'agir) humains. Ses objets de recherche sont très variés puisque les sociologues s'intéressent à la fois au travail, à la famille, aux médias, aux rapports de genre (hommes/femmes), bref, à l'environnement humain.

Les diverses théories sociologiques rendent compte des phénomènes sociaux humains sous plusieurs angles. Elles mettent parfois plutôt l'accent sur l'impact de la société sur le phénomène étudié (effet de la CSP, du sexe, etc.), s'intéressent parfois plus aux motivations des acteurs considérés comme relativement rationnels ou encore aux interactions entre individus. Mais la plupart des sociologues (même wéberiens) s'appuient -consciemment ou non- sur le paradigme selon lequel "quelque chose comme la société" existe objectivement, cette position dans le champ des idées s'opposant potentiellement à celle qui affirmerait qu'il existe plutôt toujours de la rencontre conflictuelle entre choix de formes collectives de vie, cette rencontre elle-même ne faisant pas société.
(Wikipédia)


En fait, au XXIe Siècle...il s'agit d'une question "Philosophique"...et Politique...***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

Thursday, October 29, 2009

***ELLE LES AGACE : RAMA YADE...***

***Les hommes de l’ombre.
A l’Elysée, il y a ceux que Rama Yade appelle « les hommes de l’ombre ». Jean-David Levitte, le conseiller diplomatique de Sarkozy, ne lui a pas pardonné l’épisode Kadhafi. Selon lui, si le leader libyen a multiplié les provocations à Paris, en décembre 2007, c’était en réaction aux propos de Yade dans nos colonnes.

Le secrétaire général, Claude Guéant, n’apprécie pas son indiscipline. Avec Sarkozy, elle a franchi la ligne en prenant ses distances avant de faire marche arrière avec la possible élection de Jean Sarkozy à la tête de l’Etablissement public d’aménagement de La Défense (Epad).

Le jaloux.
Rama Yade attendait du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, qu’il joue avec elle les grands aînés protecteurs quand elle était sa secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme. Mais à l’entendre aujourd’hui, il n’aurait cessé de la brimer, jaloux de sa popularité venant contrer la sienne.

Les critiques.
Christian Estrosi et Nadine Morano jugent qu’elle joue à l’enfant gâtée. Un autre ministre s’emporte contre les « caprices » de « diva » de Yade : « Ses 70 % de popularité, ça lui vrille la tête. » Dans les Hauts-de-Seine, le couple Balkany ne veut pas entendre parler d’elle, Jean Sarkozy ne fait pas partie de ses supporteurs, et Roger Karoutchi ne cache plus un léger agacement. A Matignon, enfin, on lui reproche de « ne pas jouer collectif ».

La rivale.
Rachida Dati ne voulait pas entendre parler de Rama Yade, symbole comme elle de la diversité, aux élections régionales à Paris. Les deux femmes se sont toujours cordialement détestées.

Le Parisien
28.10.2009

***A SUIVRE...***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

Wednesday, October 28, 2009

***Conférence "L'Entreprise du futur" : Délégation Générale du Québec à Paris***


M. Pierre HEBERT
Premier conseiller aux Affaires économiques et commerciales
Délégation Générale du Québec à Paris


M. Denis FORTIN
Conseiller au Directeur Général adjoint
France Télécom-Orange


*Dans le cadre des activités du Club Economique France-Québec :

Le Délégué Général du Québec
Monsieur Wilfrid-Guy LICARI,

nous a convié,

le 27 octobre 2009, à la Délégation générale du Québec à Paris :

A la Conférence de

*Monsieur Denis FORTIN
Conseiller au Directeur Général adjoint
France Télécom-Orange

sur le thème :

*"Informatique et gestion de l'information dans l'entreprise du futur"*

***Conférence très intéressante...l'entreprise du futur et les nouvelles technologies...***

*BREF APERCU : A l’occasion de la participation québécoise au Salon BOURGET 2009-Réception à la Délégation générale du Québec*** Paris
http://unioneuropeenne.blogspot.com/2009/06/loccasion-de-la-participation.html

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Photos : Morgane BRAVO

Tuesday, October 27, 2009

*Cinéma du Québec à Paris s'installe au Forum des images pour sa 13e édition...*


***Du 7 au 13 décembre 2009, à l'initiative de la Société de développement des entreprises culturelles du Québec (SODEC), l'événement Cinéma du Québec à Paris célèbrera sa 13e édition au Forum des images.

Rendez-vous prisé des cinéphiles français depuis 13 ans, l'aventure de Cinéma du Québec à Paris se poursuit au Forum des images, institution subventionnée par la Mairie de Paris et lieu de rencontres incontournable des amoureux du 7e art.

Depuis sa création, Cinéma du Québec a la volonté de montrer des genres différents. C'est la raison pour laquelle, cette année encore, pour ne pas rompre la tradition, les gros succès du box-office de l'année côtoient les œuvres des fers de lance du cinéma d'auteur, des films primés dans les festivals internationaux et deux documentaires remarquables.

Cette semaine de cinéma est présidée à nouveau par Carole Laure, dynamique ambassadrice de ce panorama depuis sa création.

Fort du succès des années précédentes, Cinéma du Québec convie également les professionnels du cinéma aux 6e Rencontres de coproduction francophone, organise le 5e Marché du Cinéma du Québec et présente également sa 2e Vitrine TV Québec.

Ce panorama des succès publics et critiques du cinéma québécois de l'année voyage également à travers la France et la Belgique (Cannes, Nîmes, Liège).

Sélection 2009
Longs-métrages de fiction :

1981 de Ricardo Trogi

A l'ouest de Pluton de Henry Bernadet et Myriam Verreault

De père en flic d'Emile Gaudreault

Dédé, à travers les brumes de Jean-Philippe Duval

Le Déserteur de Simon Lavoie

Les Doigts croches de Ken Scott

Elle veut le chaos de Denis Côté

Papa à la chasse aux Lagopèdes de Robert Morin

Polytechnique de Denis Villeneuve

Détour de Sylvain Guy

Lost Song de Rodrigue Jean

The Timekeeperde Louis Bélanger

Je me souviens d'André Forcier

La trilogie de Bernard Emond : La Neuvaine, Contre toute espérance, La Donation

Sélection 2009
Les documentaires :

La Mémoire des Anges de Luc Bourdon

Les Petits Géants d'Anais Barbeau Lavalette et d'Emile Proulx Cloutier


Également au programme, une leçon de musique donnée par Normand Corbeil, compositeur renommé de musiques de films (Double Jeu, Le contrat, L'Art de la guerre ou Le Déserteur présenté à Cinéma du Québec). Cet atelier a pour but de démontrer la relation de la musique à l'image, et plus particulièrement la relation entre réalisateurs et compositeurs.


Le programme complet de Cinéma du Québec à Paris sera bientôt disponible sur
www.cinema-du-quebec.com

Gouvernement du Québec
2 octobre 2009

Monday, October 26, 2009

*Vallée de la culture : Christian Dupuy présente le projet muséal Albert Kahn...*

***Réaction de Jean Sarkozy après son élection...***

***Séance publique du Conseil général des Hauts-de-Seine - 23 octobre 2009.
Le Conseil général a élu Jean Sarkozy administrateur de l’Établissement public d’aménagement de La Défense.



http://majorite-92.com/Seance-publique-du-Conseil-general,400

*Epad : Jean Sarkozy élu administrateur, le débat se cristallise sur l'avenir de la Défense...*


***Elu vendredi administrateur de l'Epad, Jean Sarkozy a approuvé l'extension future du quartier, mais a souhaité davantage de concertation avec les élus. La gauche exige toujours le retrait des décrets de fusion des établissements publics de la Défense et de Nanterre.

Ambiance électrique vendredi à la séance publique de l'assemblée départementale des Hauts-de-Seine. Il est tout de même un point sur lequel tous les élus sont tombés d'accord : « l'affaire Jean Sarkozy » a permis de mettre au coeur du débat public l'aménagement du quartier de la Défense. « Enfin ! » a même ajouté le fils du président de la République, qui avait la veille créé la surprise en renonçant à briguer la présidence de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad) tout en maintenant sa candidature comme administrateur.

Sur le fond cependant, les divergences sont apparues très profondes à l'occasion des votes pour l'administrateur de l'Epad et sur l'avis consultatif sur les décrets d'extension de la Défense et de fusion de l'Epad avec l'Etablissement public d'aménagement Seine Arche (Epasa) sur la commune voisine de Nanterre. C'est le maire PS de Fontenay-aux-Roses, Pascal Buchet, qui a ouvert les hostilités. « La question de fond reste la même : allons-nous aménager la Défense contre les avis des élus locaux ?[…] Va-t-elle continuer à être une boîte à fric ou au contraire va-t-on développer un véritable projet urbain ? » s'est insurgé l'élu, qui s'est ensuite adressé au président de séance, Patrick Devedjian (UMP).

« Vous vouliez nettoyer les écuries d'Augias », a-t-il déclaré, rappelant des déclarations passées du président du conseil général qui avaient provoqué un coup de tonnerre à droite. « Pourquoi le président de la République vous a empêché de le faire à la Défense, en refusant de prolonger votre mandat ? Serez-vous Hercule qui va trucider le roi corrompu Augias ? », a demandé Pascal Buchet se référant au récit mythologique, déclenchant des cris indignés du côté de la majorité sous l'oeil impassible de Patrick Devedjian. Lequel a précisé, en marge de la séance, que les comptes de l'Epad respectaient désormais les règlements comptables. Le maire PCF de Nanterre, Patrick Jarry, a lui dénoncé les décrets de fusion et appelé à débattre sur un autre projet, estimant qu'ils vont contre la libre administration des collectivités locales, inscrite dans la Constitution.
Plaidoyer pour le dialogue

« Chiche, débattons ensemble ! » a répondu Jean Sarkozy à l'occasion d'un long discours. « La crise est venue frapper de plein fouet le plan de renouveau[NDLR de la Défense]. Il va falloir réinventer un nouveau projet de prospérité, un nouveau modèle de performance économique et de développement durable et social »,a-t-il déclaré. Il s'est prononcé, à l'heure du Grand Paris, en faveur des décrets de fusion et d'extension de la Défense, « atrophiée » dans une enclave « trop limitée »,égratignant au passage la décision « de connivence et de complaisance »du ministre de l'Equipement PCF, Jean-Claude Gayssot, en 2000, de diviser le territoire initial de l'OIN de la Défense, pour créer l'Epasa à Nanterre. Jean Sarkozy a plaidé pour une grande « concertation avec tous les maires » sur ce territoire. Il a critiqué l'éviction, dans le décret, de la Ville de Paris et de la CCIP du conseil d'administration du futur établissement, appelant à une évolution. Patrick Jarry a rétorqué qu'il refusait « un dialogue les pieds et poings liés. On ne peut pas d'abord nous prendre la moitié de notre territoire et ensuite nous demander de dialoguer. Il faut retirer ces décrets ».

A l'issue des discours, Jean Sarkozy a été élu administrateur avec les 30 voix de la majorité, contre 15 pour la candidate PCF, Nadine Garcia. Les décrets ont récolté 28 voix positives, contre 17. Pour leur évolution, très probable, la balle est désormais dans le camp de l'Etat. Quant à la séance de vendredi, elle aura confirmé que ni Patrick Devedjian, candidat à sa succession en 2011 à la tête du département, ni Jean Sarkozy n'avaient renoncé à leurs ambitions politiques.

ISABELLE FICEK,
Les Echos
26/10/09

Sunday, October 25, 2009

***La Foire Internationale d’Art Contemporain...La FIAC au Grand Palais et au Louvre***


***La Foire Internationale d’Art Contemporain, évènement attendu par de nombreux passionnés d’art, a lieu jusqu’au 25 octobre au Grand Palais. Elle réunit 198 galeries d’art importées du monde entier.

Paris accueille ce week-end, la Foire Internationale d’Art Contemporain, session 2009. De nombreux artistes sont réunis dans ce lieu mythique de la culture mondiale. Un espace dans le Grand Palais est spécialement dédié à l’exposition d’œuvres majeures d’artistes modernes. Le reste de la foire est divisé par galeries. Vous pouvez redécouvrir les tableaux circulaires d’Alechinsky dans le stand de la Galerie Lelong.

Les artistes contemporains sont aussi présents. Gilbert & George y sont visibles parmi bien d’autres.

La foire occupe également le Jardin des Tuileries ainsi que la cour carrée du Louvre.

FIAC TV

***En mémoire de mon Père et ma Mère...***





***En mémoire de mon papa, qui est parti le 23 février 2008! et de ma maman...le 16 juillet 2009!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

***Présidence de l'Epad, et maintenant?...***


***L'annonce de Jean Sarkozy de ne pas briguer la présidence de l'Epad a éteint la polémique en France et à l'étranger mais n'a pas pour autant réglé tous les problèmes. Qui va désormais remplacer Patrick Devedjian, frappé par la limite d'âge, à la tête de l'établissement public?

Le conseil d'administration de l'Etablissement public d'aménagement de La Défense (Epad) compte 18 administrateurs dont 9 représentants de l'État et 9 représentants des collectivités locales impliquées.

A l'heure actuelle, il ne reste plus qu'un candidat en lice: Patrick Jarry, maire (PCF) de Nanterre. Ses soutiens sont Pierre Mansat (PCF), qui siège aussi au conseil d'administration de l'Epad, et la gauche d'Ile-de-France avec, au premier rang, le maire de Paris Bertrand Delanoë. Maigre.

D'autant que, déjà arithmétiquement difficile, cette candidature semble avoir du plomb dans l'aile depuis la prise de parole, ce vendredi, du ministre du Logement, Benoist Apparu.

"La tradition c'est qu'on choisisse le président parmi les représentants élus du département pour ne pas favoriser les communes, or Jean Sarkozy ayant renoncé à briguer la présidence et Patrick Devedjian étant atteint par la limite d'âge, aucun des deux représentants du département ne sera candidat" a-t-il affirmé.

Une déclaration vivement critiquée par Pascal Buchet, conseiller général et responsable du PS des Hauts-de-Seine. "Nous ne voulons pas que l'Etat UMP impose ses choix aux élus locaux contre leur volonté et celle des habitants", a expliqué le maire de Fontenay-aux-Roses.

Avant de proposer comme alternative que "la présidence de l'Epad puisse être confiée aux maires des communes concernées". Maisl'hypothèse d'un communiste à la tête de La Défense ne fait pas l'unanimité du côté du gouvernement ni des élus UMP locaux.

Les Hauts-de-Seine sans candidat

"Ne pas favoriser les communes." Une phrase qui semble mettre définitivement hors-jeu le maire de Nanterre, au même titre que les UMP Jacques Kossowski, maire de Courbevoie, lui aussi frappé par la limite d'âge, et Joëlle Ceccaldi-Raynaud, maire de Puteaux.

Cette dernière, dont les relations avec certains de ses collègues de droite ont parfois été houleuses, possède en plus, le même désavantage que Jean Sarkozy, celui d'être une "fille de". Son père, Charles Ceccaldi-Raynaud, 82 ans, a été maire de Puteaux de 1969 à 2004.

Enfin, le dernier prétendant envisageable, Claude Leroi, administrateur à l'Epad au nom de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, a 70 ans...

A l'approche du 4 décembre, date à laquelle le président devra être désigné, se dresse donc un casse-tête pour le conseil général des Hauts-de-Seine qui ne devrait pas avoir de candidat à proposer.

La solution d'un administrateur de l'Etat?

Pour Benoist Apparu néanmoins, "plusieurs options sont ouvertes". Il n'exclue pas la possibilité d'un intérim à la tête de l'Epad par un administrateur de l'Etat jusqu'à la fusion Epad-Epasa (Seine Arche), qui pourrait intervenir au premier semestre 2010.

"Pourquoi pas un administrateur de l'Etat", glisse-t-il. A ce petit jeu, c'est donc Jean-Marc Michel qui risque de rafler la mise, comme le suggère le quotidien Le Monde.

Ce haut fonctionnaire, nommé par le ministère du Développement Durable, occupe actuellement la présidence par intérim de l'Epad, en sa qualité de 1er vice-président. Réponse le 4 décembre, sauf nouveau rebondissement.

Kévin Deniau,
L'Express
23/10/2009

*Photo : Morgane BRAVO

Saturday, October 24, 2009

***Le Musée du quai Branly reçoit le Mexique..et la fête des morts !...à Paris***



***Autour de l’exposition Téotihuacan, Cité des Dieux, le musée du quai Branly vous propose une programmation spéciale pendant les vacances de la Toussaint, avec des conférences, des visites et des ateliers du Mexique d’hier et d’aujourd’hui….Programme.

Du samedi 24 octobre au dimanche 1er novembre 2009, vous êtes invités à découvrir le Mexique précolombien et contemporain et notamment sa tradition à célébrer les morts de façon très festive et colorée.

• Jeu multimédia dans l’exposition Teotihuacan (pendant toute la durée de l’exposition)

Un jeu multimédia entraîne les enfants dans une enquête au coeur de la Cité des dieux. Des mystères entourent les objets de l’exposition : de l’allée des morts à la Pyramide du Soleil, un parcours où l’on rencontre historiens, architectes et archéologues pour résoudre les énigmes de Teotihuacan. A partir de 7 ans – Version en français, anglais et espagnol

• Ateliers en famille

A quoi sert l’archéologie ? Qu’est ce qu’un chantier de fouilles ? A partir des maquettes des pyramides du site Teotihuacan, l’enfant se met dans la peau d’un archéologue, à la recherche des secrets de la civilisation précolombienne.

* samedi 24 octobre à 15h30 et 16h30
* lundi 26 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30
* mercredi 28 octobre à 14h30, 15h30 et 16h30
* vendredi 30 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30

• Atelier Globe trotter Mexique

Les enfants embarquent pour le Mexique, ils découvrent le temps de l’atelier les traditions orales de ce pays et s’initient à une pratique artistique.

* dimanche 25, mardi 27 et jeudi 29 octobre à 14h30, 15h30, 16h30 et 17h30
* familles, à partir de 6 ans – durée : 45 minutes – salle d’atelier

fetedesmorts1 300x194 Le Musée du quai Branly reçoit le Mexique..et la fête des morts !• Atelier Cochenille – Variation artistique autour du rouge carmin
Les enfants sont invités à découvrir par le conte et l’expérimentation le pigment naturel d’origine méso-américaine : la cochenille.

* dimanche 25 octobre à 11h30
* mardi 27, mercredi 28 et jeudi 29 octobre à 15h30 et 16h30

Visites divers :

• Visite guidée Teotihuacan : Un conférencier initie les visiteurs aux secrets de la grande cité de l’ancien Mexique, Teotihuacan. * dimanche 25 octobre à 14h30 et samedi 31 octobre à 14h30

• Visite contée Mexique : Plongez au cœur des légendes précolombiennes du Mexique.

* samedi 24 octobre à 11h30 et 14h30
* lundi 26 et vendredi 30 octobre à 11h30, 14h30 et 16h
* mercredi 28 octobre et le dimanche 1er novembre à 14h30

• Activités en espagnol- Le musée lors de cette semaine propose plusieurs activités en espagnol :

* Visite guidée Teotihuacan : dimanche 25 et samedi 31 octobre 2009 à 11h30
* Visite contée Mexique : mercredi 28 octobre et dimanche 1er novembre 2009 à 11h30
* Atelier Mission Archéo : samedi 24 et mercredi 28 octobre 2009 à 17h30

Las_Calaveras_en_Reforma_(23)Du 24 octobre au 1er novembre, le salon de lecture Jacques Kerchache présente également des livres du Mexique pour les jeunes en « version originale ».

• La fête des morts

Les 31 octobre et 1er novembre, le musée propose des ateliers dans lesquels enfants et adultes apprennent à réaliser des objets artisanaux fabriqués traditionnellement par les mexicains au moment de la fête des morts. Chacun pourra découvrir et enrichir l’autel des morts réalisé spécialement pour l’occasion et participé au grand « Baile de los muertos ».


Autel des morts avec l’artiste Cristiná Rubalcava
* samedi 31 octobre et dimanche 1er novembre, tous publics – foyer du théâtre Claude Lévi-Strauss

Ateliers de fabrication de crânes en pâte d’amande et de papiers découpés à la manière de Posada.
* samedi 31/ octobre de 11h30 à 18h et dimanche 1er novembre de 11h30 à 16h30

Bal des morts : un groupe de musiciens accompagné de danseurs vous initie aux danses mexicaines.
* dimanche 1er novembre de 16h30 à 18h30

Autour du chocolat mexicain

Voyagez dans l’univers de goûts et de saveurs chocolatées avec Pierre Hermé
* le samedi 24 et le dimanche 25 octobre 2009 de 14h30 à 18h30, tous publics – foyer du théâtre Claude Lévi-Strauss

• Conférences au salon de lecture Jacques Kerchache

Les squelettes du graveur Posada ou la mort en fête
Conférence avec Marine Degli, chargée d’études documentaires auprès de la Présidence du musée du quai branly
* mercredi 28 octobre à 15h

Antiquités mexicaines, regards sur l’archéologie du Mexique à travers les plus beaux imprimés de la médiathèque du musée. Conférence avec Ghislain Dibie, responsable du patrimoine imprimé au musée du quai Branly.
* jeudi 29 octobre à 19h

Et pendant tout le temps de l’exposition Teotihuacan, Cité des Dieux, le salon de lecture Jacques Kerchache présente une sélection d’objets du Museo de Arte Popular * du samedi 6 octobre 2009 au 24 janvier 2010
fete des morts 1INFOS

Musée du quai Branly : 37, quai Branly 75007 Paris
M° Iéna ou Alma Marceau, RER Pont de l’Alma
*T. 01 56 61 70 00 • www.quaibranly.fr



***Passage à l'heure d'hiver : dimanche 25 octobre à 3h du matin...***


***Le passage à l'heure d'hiver se fait chaque année depuis 1976. Mis en place il y a 33 ans, ce système des deux horaires d'été et d'hiver a une visée écologique : il doit en effet faire coïncider les horaires d'activité avec l'ensoleillement saisonnier, dans le but de réaliser des économies d'énergie.

Cette année, c'est dimanche 25 octobre à 3h du matin que le changement d'heure aura lieu.

Après avoir remonté les aiguilles de leur montre et manipulé les différentes pendules et horloges de la maison, les Français et l'ensemble des Européens gagneront une heure de sommeil supplémentaire puisqu'il ne sera plus que 2h.

Bien à vous,

Morgane BRAVO

***Jean Sarkozy : «Comment j'ai fait mon choix»...***


***Le fils du président se confie au Figaro. Puisant dans le passé de son père pour justifier son renoncement à la présidence de l'Epad, il se prépare à rebondir.

«Finalement, on ne m'a jamais autant reproché d'être le fils de mon père que depuis que je vais moi-même devenir père.» Entre deux coups de téléphone à sa jeune épouse, Jessica, enceinte de six mois, Jean Sarkozy a besoin de se confier, au lendemain de sa décision de ne plus briguer la présidence du quartier d'affaires de la Défense. 8 h 15, vendredi : celui que la presse nationale et internationale présente, depuis deux semaines, comme le «fils à papa» le plus célèbre de la planète affiche un calme olympien. Pas un signe d'exaspération. Pas un mot contre la presse et le «monde politico-médiatique» que le chef de l'État et les dirigeants de l'UMP ont cloués au pilori.

Chez Jean Sarkozy, rien de tout ça. Il n'est en guerre contre personne, il est «raisonnable», selon son propre mot. Assez «raisonnable» pour comprendre qu'il fallait jeter l'éponge plutôt que traîner comme un boulet cette élection à la tête de l'Établissement public d'aménagement de la Défense (Epad). «Bien sûr que c'est une épreuve, mais je ne vais pas mal. Je suis bien. C'est quand même une formidable opportunité pour apprendre. Bien sûr que des articles m'ont blessé, mais d'autres étaient vrais», confie-t-il au Figaro, juste avant de rejoindre l'hôtel du département à Nanterre (Hauts-de-Seine) où l'attendent plus de deux cents journalistes, venus du monde entier. Le fils cadet du chef de l'État dédramatise. À l'entendre, ce recul «n'est pas grave». «J'ai pris ma décision seul», assure-t-il. Jean Sarkozy admet pourtant qu'il a dû insister pour convaincre son président de père. «Je suis allé lui présenter ma décision mercredi soir. Il m'a dit : “Tu fais ce que tu dois faire. Je respecterai ton choix. Prends encore la nuit pour mûrir ton choix définitif.” Jeudi, je lui ai confirmé mon choix, poursuit-il. Il l'a respecté. Comme il l'a toujours fait pour mon frère et moi.» À l'Élysée, on oscille entre surprise et soulagement. Quelques heures plus tôt, Claude Guéant livrait encore cette consigne : «On tient bon sur la candidature de Jean.» Le tout sur fond de sondages inquiétants.

Sitôt actée sa décision de renoncer à la présidence de l'Epad, le fils du président s'est enfermé chez lui pour préparer le journal de France 2. Seuls sa femme, Jessica, dont le rôle semble avoir été déterminant, et son communicant Christophe Lambert sont, à cet instant, mis dans la confidence. À l'Élysée, Nicolas Sarkozy charge son conseiller Franck Louvrier d'avertir quelques personnalités, dont Brice Hortefeux, parrain de son fils, invité, par un curieux hasard du destin, le soir même sur France 2. «On a fait loge commune», raconte le mi­nistre de l'Intérieur, «scotché» par la prestation de son filleul.

» Regardez la vidéo de l'annonce par Jean Sarkozy de son revirement :

L'ami de trente ans de Nicolas Sarkozy n'a pas été «tellement» surpris par le revirement. «Il avait déjà des doutes le week-end dernier, révèle Brice Hortefeux. C'est vrai que l'Élysée défendait la ligne dure. Jean n'a pas insulté l'avenir, il l'a préparé. Avec cette épreuve, il a pris du galon.»

«Je suis prêt à faire les sacrifices qu'il faut»

Jean aurait-t-il mieux appréhendé la situation que Nicolas ? Le fils a visiblement ramené tout le monde sur terre. Après la victoire de David Douillet lors de la législative partielle dans les Yvelines, le chef de l'État avait pris la tête d'une croisade contre les «commentateurs». Au même moment, Jean Sarkozy, lui, réfléchissait déjà à un retrait. Quel a été le déclic ? «Je ne pouvais pas m'enfermer dans une posture qui devenait un piège pour moi. Le soupçon était là. Injuste, mais il s'était installé. L'élection aurait été gâchée. On ne pouvait pas rester dans cette incompréhension sans en tenir ­compte», analyse-t-il avec lucidité.

Autour de lui, tout le monde n'a pourtant cessé de le pousser. Ses amis politiques des Hauts-de-Seine, pressés de se débarrasser de Patrick Devedjian. Les conseillers de l'Élysée, Pierre Charon (qu'il appelle «tonton») en tête. Et bientôt toute la droite, contrainte, bon gré mal gré, de justifier ce «népotisme» que dénonce l'opposition. Un comble pour un président qui a fait toute sa carrière en fustigeant les «héritiers» en politique. «Un Sarkozy ne renonce pas. Quand un poste se présente, il prend», lui répétaient les meilleurs copains de son père, au premier rang desquels figure Patrick Balkany, le maire de Levallois. «Je me suis demandé ce que mon père aurait fait à ma place. Lui aussi a connu les renoncements. J'ai repensé à 1999 quand il a renoncé à la présidence du RPR. Derrière, il a su rebondir. Tout ça m'inspire» , se rassure Jean Sarkozy qui n'envisage pas une seconde d'abandonner la politique. «Je vais bien sûr continuer. Je suis prêt à faire les sacrifices qu'il faut. J'ai ça en moi», prévient-il en concédant seulement qu'il est prêt à prendre son temps.

Dans l'immédiat, il refuse de répondre aux interrogations sur la suite de sa fulgurante carrière. Les régionales en mars ? La présidence du conseil général en 2011 ? Les législatives en 2012 ? Les municipales à Neuilly en 2014 ? Il préfère en sourire. En mettant son ambition en veilleuse, Jean Sarkozy a forcé l'admiration des ténors de l'UMP. Sa prestation télévisée a bluffé le monde politique, droite et gauche confondues. Sur sa page Facebook, le chef de l'État s'est dit «fier» de son fils, qui a «pris une décision sage et courageuse». «Cette prise de recul lui profitera beaucoup», a jugé François Fillon, très inquiet des dégâts provoqués par cette affaire dans l'électorat de droite.

Sur le petit écran, on croyait entendre son père. Même diction, mêmes intonations, en plus posé. À 23 ans, Jean Sarkozy a prouvé qu'il avait l'envergure d'un animal politique. Un proche de la famille affirme : «Jean parle comme son père mais pense comme sa mère.» Mêlant pudeur et sincérité, le conseiller général de Neuilly a déroulé son argumentaire tout en douceur. Avec ses cheveux courts et ses fines lunettes, il a un look plus adapté à sa fonction. «Je sais bien que je fais petit con», confiait-il avant l'été. Depuis, il a abandonné cette coupe de cheveux qui lui donnait des allures de prince de Monaco. Bientôt papa d'un petit garçon, il a saisi l'occasion qui lui était donnée pour s'émanciper de son père. Et se faire un prénom. La carrière politique de Jean Sarkozy ne fait que commencer.

Par Bruno Jeudy
23/10/2009
Le Figaro

***En effet, Jean Sarkozy est «raisonnable», et sa carrière politique ne fait que commencer....FELICITATIONS, 23 ans : MAIS...Tu es le meilleur...! l'AVENIR TE DONNERA RAISON...! "Une étoile est née"!!! Sincèrement!

A SUIVRE...!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

***André Santini : «Je souhaite que Jean Sarkozy soit candidat aux régionales»...***

Jean SARKOZY & Morgane BRAVO
Salon des Micro-entreprises 2008 à Paris

***André Santini, député-maire Nouveau Centre d'Issy-les-Moulineaux, a exprimé sa surprise après l'annonce du retrait de la candidature du fils du chef de l'Etat à la présidence de l'Epad, et déclaré son souhait de le voir rebondir rapidement.

Le Talk - André Santini - Le Figaro
Le député-maire Nouveau Centre d'Issy-les-Moulineaux était l'invité du Talk Orange Le Figaro.


***A SUIVRE...***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

Friday, October 23, 2009

*Grand Paris: Jean Nouvel critique Christian Blanc et réclame son départ...*

***Jean Nouvel, l'un des dix architectes-urbanistes à avoir remis un projet sur le Grand Paris, estime qu'il faut changer le secrétaire d'Etat au développement de la région capitale Christian Blanc car à ses yeux il y a un "problème de casting", dans un entretien à l'AFP.

"Personnellement, je pense qu'il faut que Christian Blanc parte, à moins qu'il ne change", a déclaré l'architecte. Mais "c'est peu probable", a-t-il ajouté.

"Il y a un problème de casting", Christian Blanc n'a pas "le profil", considère M. Nouvel, prix Pritzker 2008. "Il faut un secrétaire d'Etat curieux, humaniste, un ami des architectes et des ingénieurs", estime Nouvel.

A la demande de Nicolas Sarkozy, dix équipes pluridisciplinaires internationales ont remis leurs propositions sur le Grand Paris le 6 mars.

Le chef de l'Etat a ensuite prononcé le 29 avril à la Cité de l'architecture un discours sur le Grand Paris dans lequel il a cité de nombreuses idées empruntées aux dix études présentées, rappelle Nouvel.

Mais Christian Blanc "n'est pas tellement intéressé par les questions d'architecture et d'urbanisme. La seule chose qui l'intéresse, c'est son grand huit" de métros souterrains, qui fait l'objet d'un projet de loi, regrette M. Nouvel.

"Les dix grandes études, qui ont mobilisé 500 personnes, n'ont pas été analysées", affirme-t-il.

Si on continue sur cette voie, "on va vraiment dans le mur", estime l'architecte, qui a décidé de mettre les pieds dans le plat et d'exprimer son mécontentement. Il a commencé mardi par une tribune dans le Monde et s'est exprimé ensuite sur France Inter.

"Il fallait que quelqu'un dise cela", dit Jean Nouvel.

L'architecte indique que les dix équipes ont écrit le 28 juillet à Nicolas Sarkozy pour lui demander la création d'un "atelier international du Grand Paris" qui réunirait les architectes et urbanistes, avec des représentants de l'Etat, de la Ville de Paris, de la région Ile-de-France, des communes.

Nouvel souhaite que cela permette de "créer un engrenage entre les experts, les techniciens et les élus pour préparer les décisions politiques".

"Il faut analyser, dire ce qu'on va faire, dire ce qu'on ne va pas faire. Le rôle du politique, c'est de choisir", ajoute-t-il.

Le Monde
23.10.09

***Jean Sarkozy explique avoir "une vocation" politique "inaltérable"...***


***Le fils cadet du chef de l'Etat, Jean Sarkozy, élu vendredi administrateur de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad), a expliqué devant la presse que sa vocation politique était "inaltérable".

"J'ai dit que j'avais la passion de l'engagement public. J'ai cela en moi, c'est une vocation. Elle n'a pas été altérée (par la polémique, ndlr) parce qu'elle est inaltérable", a affirmé Jean Sarkozy devant les micros de nombreux journalistes, français et étrangers, qui assistaient à l'évènement.

Interrogé sur son éventuel projet de se présenter en 2011 à la présidence du conseil général des Hauts-de-Seine, le conseiller général a répondu que "dans les années à venir, (il) aura l'occasion de (se) présenter devant les électeurs", sans plus de précision.

Revenant sur la polémique qui a entouré son projet de candidature à la tête de l'Epad auquel il a finalement renoncé, Jean Sarkozy a parlé d'une "épreuve".

"C'est toujours une épreuve de se retrouver au centre d'une polémique mais cela forge le caractère et la détermination", a-t-il dit

Interrogé sur l'éventualité d'une autre candidature, dans le futur, à la tête de la Défense, il a répondu qu'il n'avait "pas l'ambition des titres et des honneurs".

"J'ai de l'ambition pour La Défense. C'est le premier quartier d'affaires européen. Mais ce n'est pas un acquis, il faudra que l'on travaille beaucoup pour garantir ce leadership et confirmer cette attractivité", a-t-il dit.

"C'est une ambition qui est forte, qui est noble, je suis administrateur, j'ai des idées. J'ai envie de me battre, de les défendre, c'est ce que je veux faire", a-t-il conclu.

Le Point
23/10/2009

***FELICITATIONS!!! 23 ans : MAIS...Tu es le meilleur...! l'AVENIR TE DONNERA RAISON...! Sincèrement! «JS a renoncé mais il n'a rien lâché! "Une étoile est née"!!!
A SUIVRE...!

Bien à vous,

Morgane BRAVO

***Jean SARKOZY : "Je ne veux pas d'une victoire entachée de soupçons"...***


***Bon courage Jean...!!! Tu es le meilleur...l'AVENIR TE DONNERA RAISON...!
Et voilà : "après une campagne de manipulation et de désinformation"... Au XXIe siècle, on va mettre un communiste à la tête d'un des plus grand quartier d'affaires d'Europe...? A SUIVRE...***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

Thursday, October 22, 2009

*François Fillon, Premier ministre, a répondu aux députés sur la réforme des collectivités locales...*

***François Fillon, Premier ministre, a répondu aux députés sur la réforme des collectivités locales à l'Assemblée Nationale à l'occasion des questions d'actualité le mardi 20 octobre 09.



***Le compte personnel des démarches en ligne...***


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***Et voilà, la France du XXIe Siècle! A SUIVRE...!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

Wednesday, October 21, 2009

*Anticiper son futur par Philippe Gabilliet...*

*BREF APERCU : L'UMP a présenté mardi ses propositions pour le grand emprunt dans le cadre d'une convention...*


***Grand emprunt : les priorités de l'UMP :

L'UMP a présenté mardi ses propositions pour le grand emprunt dans le cadre d'une convention réunissant experts de la société civile et politiques pilotée par Eric Besson, secrétaire général adjoint de l'UMP.


Allocution de Xavier BERTRAND
Secrétaire général du Mouvement populaire
Convention sur le Grand Emprunt
20 octobre 2009

Mesdames et Messieurs,
Mes chers amis,

Les conventions du Mouvement populaire sont de retour !

Avec elles, c’est le débat, la confrontation d'idées, la réflexion, l'imagination et l’audace qui reprennent la main !

Elles sont de retour avec un sujet d’avenir, un sujet stratégique, qui concerne tous
les Français : « le Grand Emprunt pour les priorités nationales ». Et c'est parce que cette initiative concerne tous les Français et pas seulement les experts de l'administration, que le Premier Ministre, François FILLON, m'a demandé de faire travailler notre mouvement sur les priorités nationales !

Je tiens, au terme de cette journée à remercier très chaleureusement Eric BESSON et Nicolas FORISSIER, qui ont organisé la convention et la réflexion du Mouvement sur le Grand Emprunt.

Je remercie aussi Jean-François COPE, Président de notre groupe et tous les parlementaires de l’UMP qui ont participé à la réflexion au sein du Groupe.

Je voudrais vous dire, au terme de cette journée, quelle est la vision de l’UMP sur les priorités nationales et le Grand emprunt. Car le rôle d'un parti comme le nôtre, ce n'est pas seulement de débattre, c'est aussi de savoir faire des propositions concrètes !

Voilà en effet l'idée que je me fais du rôle de notre Mouvement!

C'est ainsi que nous apporterons notre pierre à la grande consultation nationale que mènent Alain JUPPE et Michel ROCARD, dont je veux saluer ici le travail et l'engagement pour le bien commun de la France, au-delà de tous les clivages.

Mais j'en viens tout de suite au fond : pour moi, tout se résume en une phrase : depuis trop longtemps, nous avons pris du retard, il est temps de prendre de l’avance !

La suite du Discours :
http://www.u-m-p.org/prehomes/convention_grand_emprunt_2009-10-20


Xavier BERTRAND,
Secrétaire général du Mouvement populaire


Jean-François COPÉ, Président du groupe UMP de l’Assemblée nationale










Danièle GIAZZI, Secrétaire Nationale UMP chargée de l’Industrie









Xavier BERTRAND,
Secrétaire général du Mouvement populaire & Morgane BRAVO

Philippe SEILLON (à droite)

*La convention en vidéo
http://www.u-m-p.org/prehomes/convention_grand_emprunt_2009-10-20/

***A SUIVRE...***

Bien à vous,

Morgane BRAVO

*Photos : Morgane BRAVO

Monday, October 19, 2009

***David Douillet député de la 12e circonscription des yvelines***


***FELICITATIONS! BONNE CHANCE...!

Bien à vous,

Morgane BRAVO

* Jean-François Copé : "La nation se fissure en silence"...*

***"La France est diverse. Il faut le vivre comme une chance." Alors que la majorité parlementaire gronde contre l'ampleur de la dette, contre la réforme des collectivités territoriales, contre la création de la taxe carbone, le président du groupe UMP de l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, prend du champ. Pour lui, le grand défi, c'est l'identité française. Un thème mal traité "depuis trente ans" qui conduit à l'échec de l'intégration et au délitement silencieux de la nation. Il est temps, dit-il, de proposer "une nouvelle définition des valeurs de la droite".

Au Parlement, on sent la droite inquiète. Y a-t-il un risque de rupture avec Nicolas Sarkozy ?

Le débat, ce n'est pas la rupture. Il est normal et sain que la majorité s'exprime librement. C'est Nicolas Sarkozy lui-même, par son dynamisme et sa franchise, qui nous y incite. Quant à notre électorat, le seul marqueur, en dehors des sondages d'opinion, ce sont les élections partielles, et on s'en sort plutôt bien.

Vous n'avez pas été choqué par l'affaire Frédéric Mitterrand ?

Si quelque chose m'a choqué, c'est d'abord l'attitude du PS, qui a embrayé sur les attaques sordides du FN. Frédéric Mitterrand s'est expliqué. Il m'a profondément ému, et j'ai trouvé qu'il avait fait preuve de beaucoup de dignité.

L'ouverture n'est-elle pas de moins en moins bien acceptée par la majorité ?

En soi, l'ouverture est une idée très moderne, mais on a un peu épuisé le vivier, c'est vrai. Il ne faut pas chercher à ouvrir toujours plus. Il faut passer à une nouvelle étape et prendre les socialistes au mot. Ils disent vouloir privilégier l'intérêt général ? Je leur propose de travailler avec la majorité sur des sujets d'intérêt national mais en restant dans leur famille politique. La taxe carbone, la décentralisation, les retraites : bienvenue au club !

Vous êtes resté étonnamment silencieux à propos de la promotion de Jean Sarkozy à la tête de l'EPAD, alors que beaucoup d'élus de droite ont été choqués.

Au contraire ! J'ai, dès lundi, rappelé qu'il était élu, et donc légitime. Je l'ai fait d'autant plus volontiers que je trouve ces attaques personnelles ignobles... Et d'autant plus librement que, lui, ne m'a jamais ménagé dans ses propos. Je ne vais pas changer d'avis.

Existe-t-il des gens qui osent dire non à Nicolas Sarkozy ?

Drôle de question ! C'est Gérard Longuet et moi qui avons déclenché le signal d'alarme sur la taxe professionnelle. Résultat : nous sommes en train de réécrire une partie de ce texte. Voilà un exemple de coproduction législative. La coproduction, ce n'est plus un débat, c'est un fait.

L'accumulation des difficultés correspond-elle à ce que M. Sarkozy appelle la "malédiction des deux ans" ou révèle-t-elle une fragilité plus profonde ?

Je n'appellerais pas cela une malédiction. Mais nous sommes à un moment-clé du quinquennat. La totalité des chantiers sur lesquels nous nous étions engagés ont été ouverts. Il faut fixer la suite, trouver une réflexion, un message de fond en proposant une nouvelle définition de ce que sont les valeurs de la droite française. Lorsque j'avais 30 ans, j'étais dans une logique de droite très classique, qui croit à la famille, au travail, à la performance. J'ai profondément évolué. Ces valeurs ne suffisent plus à définir ce que je pense. Face à la multiplication des suicides au travail, on voit bien que le "travailler plus" doit être complété par le "travailler mieux".

Mais le premier défi, celui qui sera le plus structurant, c'est la question de l'identité française. La nation se fissure en silence parce qu'il n'y a pas de discours sur l'identité. Ce thème, tel qu'il avait été traité en 2007, doit être profondément renouvelé et retravaillé.

Parce que le FN pourrait se le réapproprier ?

Il s'en est nourri, car, depuis vingt ou trente ans, nous avons commis collectivement l'erreur de ne pas expliquer ce que cela veut dire être français aujourd'hui. On a eu peur. On a nié l'évolution sociologique de notre population, sur le plan de sa composition, de ses origines, de ses pratiques religieuses, de ses modes de vie. Pendant ce temps, la société française a continué à bouger et à se développer sans repères.

La population issue de l'immigration de la seconde moitié du XXe siècle, qui en est maintenant à sa troisième génération, n'a toujours pas reçu les codes d'accès. Cela a conduit à un malentendu croissant au sein d'une population composée de gens qui sont tous français mais qui, parce qu'ils n'ont pas eu les repères nécessaires, ne se parlent pas, ne s'écoutent pas, ne se respectent pas. L'insuffisance du dialogue interreligieux en est un exemple.

Il existe depuis 2007 un ministère de l'intégration et de l'identité nationale. Il a échoué ?

C'est l'échec de trente années de politiques en ce domaine.

Comment réussir l'intégration ?

Il faut que l'on positive le fait d'être une population aussi diverse que l'est devenue la nôtre, qu'on le vive comme une chance. Que l'on arrête de vouloir faire croire à nos enfants que nos ancêtres étaient tous des Gaulois. Ce qui compte, c'est que chaque Français, quelles que soient sa date d'arrivée en France, son origine ou sa religion, a de la valeur et apporte ce qu'il a de mieux pour notre pays. Un exemple : au lycée, on peut choisir en option de très nombreuses langues, mais il est quasi impossible d'apprendre l'arabe, alors que cela pourrait être un fantastique atout économique. Résultat, ce sont des intégristes dans des caves qui s'en chargent.

Pourquoi réclamez-vous une loi sur le port de la burqa ?

La burqa, ce sont des intégristes qui veulent tester la République. Si on ne fait rien, on va laisser se banaliser un phénomène qui est contraire à nos principes. La réflexion sur l'identité française est indissociable de celle sur la place des femmes dans la société. Avec mes collègues députés, nous prendrons dans les semaines qui viennent des initiatives fortes sur ce sujet, notamment pour favoriser leur promotion dans le monde économique. Notre discours doit être adossé sur deux mots : humanité et rassemblement. Nicolas Sarkozy a une formule pour caractériser les Français : "Ils sont monarchistes et régicides." Il a raison, mais c'est une lecture de la société qui se réfère à 1793. Depuis, il y a eu des vagues d'immigration, et je ne suis pas sûr que 1793 reste pour les Français la référence.

C'est une critique radicale du sarkozysme ?

Non, c'est le résultat d'un cheminement personnel et intellectuel. Je passe du temps sur le terrain. Je vois ce qui s'y passe. La France bouge à grande vitesse. Les Français doivent être plus ouverts aux idées des autres et plus ouverts au monde. On ne peut pas prétendre entrer de plain-pied dans la mondialisation, aspirer à comprendre les autres pays, s'inspirer de leurs bonnes pratiques si on ne parle pas correctement l'anglais.

Vous évoquez l'intégration, mais ce qui préoccupe la droite aujourd'hui, c'est l'accumulation des déficits.

La dette sera effectivement l'un des grands sujets des prochaines échéances électorales. Les Français sont profondément angoissés à l'idée que ce soient leurs enfants qui aient à payer pour ce stock de dettes. La fausse bonne idée serait d'augmenter les impôts. Les deux bonnes pistes consistent à réduire les dépenses publiques inutiles, les gaspillages, et à inventer une nouvelle croissance. Le développement durable sera notre salut.

Le bouclier fiscal est-il encore défendable ?

C'est un marqueur du quinquennat. Je le défends bec et ongles. On ne pourra y toucher que si, dans le même temps, on supprime l'impôt sur la fortune ou si on revoit la fiscalité du patrimoine. Le bouclier fiscal est un outil de compétitivité fiscale.

Françoise Fressoz et Patrick Roger
Le Monde
18.10.09

Sunday, October 18, 2009

*Salon Art en Capital qui se déroule à Paris du 4 au 9 novembre 2009 : Pascal Cornier...*

***J’expose au salon Art en Capital qui se déroule à Paris du 4 au 9 novembre 2009 et je vous y donne rendez-vous.
http://www.pascalcornier.net/annonce/octobre09/gpalais_09.html

Découvrez ma passion pour la mer, pour l’eau et ses réflexions, découvrez ma passion pour la couleur sur http://pascalcornier.over-blog.com

Mes images, réalisées sans filtrage ni modification de chromie, sont imprimées en un unique exemplaire.

Je suis partenaire de l’association UNISEP (association qui combat la maladie de la sclérose en plaques).
http://www.unisep.org/
Une part des ventes est reversée à l’association.

Adresse du salon Art en Capital :
Grand Palais des Champs-Elysées
Avenue Winston Churchill
75008 Paris

Les horaires du salon :
4 et 5 novembre : de11 à 22h
6, 7 et 8 novembre : de 11 à 19h30
9 novembre : de 11 à 16h

Cordialement

Pascal Cornier

***Jean Sarkozy fait face...***


***Le fils du chef de l'Etat devrait accéder le 4 décembre à la tête de l'Epad, le quartier d'affaires des Hauts-de-Seine. Récit d'une prise de pouvoir très contestée.

Le journal régional de France 3 Ile-de-France plutôt que le « 20 heures » de TF1. Une interview au quotidien gratuit des Parisiens et des banlieusards Metro plutôt que la une de Paris Match. Jean Sarkozy a délibérément choisi une stratégie médiatique « profil bas » pour faire face à la tempête médiatique qu'a déclenchée sa probable accession, le 4 décembre, à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad) - le grand quartier d'affaires des Hauts-de-Seine. Mais aussi pour jouer à l'élu local de base afin de faire oublier qu'il est le fils du président de la République. Pas question pour le jeune conseiller général du canton de Neuilly-sud d'en rajouter au moment où médias nationaux et internationaux titrent sur «l'héritier», «le fils à papa» et se moquent d'une France comparée à une «république bananière».

Toute la semaine, le « prince Jean », comme l'ont surnommé ses détracteurs, a donc affronté la tempête. Avec son visage juvénile et cette paire de lunettes qui lui donne un air si sérieux, il s'est défendu pied à pied. Sans jamais se départir de son calme. Cela ne l'a pas empêché de téléphoner «dix fois par jour» à son parrain Brice Hortefeux pour trouver du réconfort. «Il est affectivement éprouvé mais politiquement déterminé», confie le ministre de l'Intérieur. Pour le reste, Jean Sarkozy se réfugie chez lui auprès de sa jeune épouse Jessica, enceinte de six mois. «Quand l'orage se lève, il ne faut pas compter les gouttes», répond-il à ses amis qui lui demandent comment il fait pour résister à la pression.

En réalité, Jean Sarkozy s'était parfaitement préparé à cette opération - même s'il n'avait pas imaginé que la polémique qui suivrait aurait les honneurs de la télévision chinoise ! A 23 ans, le deuxième fils de Nicolas Sarkozy n'a déjà plus rien d'un bleu. S'il manque de diplôme, il ne manque pas de culot. Ni de sens politique. «Il y a une évidence génétique. Jean fait de la politique comme les petits-fils de De Gaulle, la fille de Le Pen ou la fille de Jacques Delors», s'exclame Isabelle Balkany, sa marraine dans le département des Hauts-de-Seine. «Le petit a fait ses preuves», renchérit Charles Pasqua, qui l'adore.

Il connaît ses dossiers sur le bout des ongles

L'offensive sur l'Etablissement public d'aménagement de la Défense ne s'est pas faite à la hussarde. A bonne école, le patron du groupe UMP au conseil général des Hauts-de-Seine mijotait son coup depuis quatre mois. Tout a commencé le 22 juillet dernier. Ce jour-là, Patrick Devedjian, ministre de la Relance, président du conseil général et président de l'Epad, expose dans une interview au Monde ses projets pour le quartier de la Défense. A aucun moment, Devedjian ne signale qu'à 65 ans (il les a eus le 26 août) il a atteint la limite d'âge pour ce type de fonction. Au passage, Devedjian annonce qu'il compte se représenter à la présidence du conseil général en 2011. «Une provocation !», hurle-t-on à l'Elysée et à Nanterre. «On va lui donner une petite fessée», lâche un ami de Jean Sarkozy.

Début septembre, André Santini se charge de faire fuiter dans la presse que Jean Sarkozy va remplacer Patrick Devedjian à la Défense. Le message est clair : l'Elysée n'accordera à ce dernier aucune dérogation pour se maintenir à la tête de l'Epad. Il ne reste plus qu'à convaincre les conseillers généraux de la majorité de valider la candidature de Jean à la Défense. Entre-temps, Hervé Marseille, vaillant vice-président du conseil général et administrateur de l'Epad, a accepté de démissionner. Pour prix de son sacrifice, l'Elysée l'a fait nommer à la fin de l'été au Conseil économique et social. En attendant une place au Sénat en 2011.

Jeudi 8 octobre, à l'hôtel du département, au sein du groupe UMP du conseil général, «l'affaire est pliée en cinq minutes. On n'a même pas eu besoin de passer au vote à bulletins secrets», raconte Isabelle Balkany. «On a choisi Jean parce qu'il est le plus légitime et le meilleur, confie celle que Jean Sarkozy appelle parfois « tata » Isabelle. Avec la règle du non-cumul, il n'y a plus, au conseil général, que des quatrièmes couteaux», justifie-t-elle en faisant le panégyrique de son protégé, qui devrait être confirmé dans son poste d'administrateur de l'Epad le 23 octobre, à l'issue d'un vote de tous les élus de l'assemblée départementale. «Ce n'est pas de notre faute si Jean inspire la sympathie et Devedjian provoque l'antipathie», balance Patrick Balkany. S'il n'a pas encore sa licence de droit, Jean Sarkozy connaît ses dossiers sur le bout des ongles. Celui qui a connu en moins de deux ans une ascension irrésistible bluffe une fois de plus ses pairs. Comme il a bluffé son père, qui était plus que réticent à sa candidature aux cantonales. En plein psychodrame à Neuilly, il aura fallu qu'Hortefeux et les Balkany insistent auprès du Président pour le convaincre de laisser sa chance à Jean.

Depuis, le benjamin du conseil général force sa chance et profite aussi de l'ascendant politique que lui procure son patronyme pour accélérer sa carrière. Un de ses supporters au conseil général calcule : «La stratégie n'est pas sans risque ni pour lui, ni pour son père. Mais la polémique d'aujourd'hui rendra plus simple sa candidature à la présidence de l'assemblée départementale en 2011.» Avant de viser les législatives l'année suivante.

BRUNO JEUDY
Le Figaro
16/10/2009

Saturday, October 17, 2009

***IMPLIC’ACTION : UN RESEAU SOCIAL COMMUNAUTAIRE...Journée inaugurale!***


***C’est avec professionnalisme que les membres fondateurs d’Implic’action ont présenté l’association-réseau de reconversion du personnel de la Défense lors de la journée inaugurale du jeudi 8 octobre 2009 à Paris.

D’emblée, ils ont voulu témoigner du sérieux avec lequel ils concevaient l’entraide qu’ils proposent désormais à leurs pairs en voie de retour vers la vie civile. Ils avaient choisi le grand amphithéâtre Foch de l’Ecole Militaire pour inviter autorités militaires et civiles ainsi que le public à se déplacer pour les écouter.

IMPLIC’ACTION : UN RESEAU SOCIAL COMMUNAUTAIRE

Au total, plus de deux cents personnalités étaient présentes, au premier rang desquelles, encore en activité, le général Dary, Gouverneur Militaire de Paris, représentant le Chef d’Etat-major de l’Armée de Terre, le Général Martial commandant l’Agence Reconversion Défense et ses principaux adjoints, mais aussi de nombreux présidents d’association ainsi que des représentants d’organisations patronales ou syndicales et des chefs d’entreprise dont plus de la moitié des dirigeants sont d’anciens militaires. Nous notons tout particulièrement les sociétés ACTIS, BL CONSEIL, KWICUBE, M&r Conseil, NOVIAL comme premiers sponsors de l’association.

Paul Perrin, le président, par ailleurs très impliqué dans les causes humanitaires avec la création d’ECI (association pour la démobilisation/désarmement/réintégra tion des anciens belligérants et des enfants-soldats) ouvre le débat en premier pour saluer les autorités et dire l’importance d’un tel « réseau social communautaire naissant dans un contexte socio-économique en crise profonde ». Il remercie également Jean-Michel Lebec qui a permis de fédérer ses camarades de manière cohérente.

TENDRE LA MAIN A CEUX QUI VONT QUITTER LA DEFENSE…

Ensuite, Thierry Lefebvre, le directeur de la communication, énumère les raisons qui ont mobilisé ces anciens militaires-civils, et actuels chefs d’entreprise ou consultants, à se regrouper. Au-delà d’une démarche de citoyens concernés par la Loi de Programmation militaire envers laquelle ils ne voulaient pas rester insensibles, ils ont souhaité, en effet, « mettre en commun leurs multiples compétences au profit de ceux qui dans les quelque 4 à 5 années à venir, suite aux déflations d’effectifs, vont devoir quitter le Ministère. Nous avons à leur tendre la main. »

Au préalable, de manière individuelle, chacun d’entre eux s’activaient dans sa région pour venir en aide à ceux qui souhaitaient les conseils d’un « ancien » passé par les arcanes de la reconversion, ayant réussi son insertion dans le privé. Seulement, si ces actions restaient ponctuelles et isolées, leurs interventions devenaient de plus en plus fréquentes. Face à l’afflux des demandes, devant la montée des frustrations, beaucoup élaborèrent des projets qui furent autant de prémices à cette association C’est en fait grâce au hub de reconversion des militaires sur Viadeo (en place depuis 2007) que ces internautes actifs se sont connus. Très vite, début 2009, ils décidèrent de fonder Implic’action. Leur opiniâtreté a fait le reste. Aujourd’hui, l’esprit de cohésion continue de les animer indéfectiblement.

Leur objectif est clair ; il a été répété : « S’inscrire en toute indépendance dans les dispositifs existants d’aide facilitant l’accès à l’emploi. Cette aide vise tout ressortissant de la Défense quel que soit le statut ou la catégorie, civil et militaire, qu’importe l’ancienneté et l’armée ou le service » précise Jean-Luc Didio, le « commissaire » de la troupe.

S’APPUYER SUR UN RESEAU NATIONAL D’ANCIENS DE LA DEFENSE…

La force de cette association originale est de s’appuyer sur un réseau national d’ex du Ministère désireux de partager leur savoir. « C’est aussi clair que cela même si ce n’est pas si simple. » prolonge Antoine Akielholz ; le trésorier, attestant par cette formulation à la fois la conscience du défi à relever et l’humilité de leur engagement.

DES IMPLIC’ACTIFS ET DES IMPLIC’ACTEURS…

Visiblement leur ambition est pragmatique, lucide, « écrite dans le marbre, ancrée dans le dur » : se positionner comme une alternative complémentaire aux autres parcours de reconversion et comme une opportunité supplémentaire pour la Défense de conduire sa politique R.H. « Nous représentons un sas, terme à prendre au sens de compartiment de décompression entre le monde vert-armé et le monde entrepreneurial et comme acronyme de « S’impliquer-Agir-S’entraider, ce qui est à la lettre notre philosophie » appuie Richard Lazarowicz, plus particulièrement chargé de veiller à la réglementation intérieure.

Pour mieux se désigner « presque entre frères d’armes », comme aime à le rappeler Thibaut de Féligonde, un des vice-présidents, ces membres utilisent dès à présent un vocabulaire spécifique. Ils distinguent les « implic’acteurs », ceux qui abordent la phase de reconversion et qui ont besoin d’être accompagnés, des « implic’actifs », ceux qui ont franchi le cap et qui sont en mesure de venir au secours des premiers afin de les guider à réussir à leur tour leur repositionnement. « Mais ce qui importe, c’est que eux et nous, nous savons de quoi nous parlons et nous parlons le même langage, voilà pourquoi nous pouvons en parler et avons des choses à nous dire » ponctue Thierry Lefebvre

TEMOIGNAGES DE RECONVERSIONS REUSSIES…

Puis, temps attendu de cette présentation, trois récents reconvertis apportent avec sincérité et émotion leur témoignage.
Le premier Daniel Prak, l’un des dix cofondateurs de l’association, décrit comment après avoir servi dans les mécanisés, puis dans le renseignement par l’imagerie, notamment spatiale, il dut accepter de faire un détour, « une descente aux enfers » par une entreprise de nettoyage urbain avant de pouvoir occuper le poste de chef de bureau des moyens généraux de l’IHEDN. « Ne pas subir » est le conseil qu’il lègue dans un silence.
Eric Loridon, commente quant à lui son trajet d’officier dans l’ALAT au poste actuel de DRH du Groupe Faber. Il tient à mettre en exergue que la démarche d’une reconversion doit s’accompagner d’une profonde réflexion sur la définition du projet professionnel afin de minimiser les risques d’échec. « De plus, il convient de faire preuve d’une grande motivation pour être en mesure de réussir les enjeux générés par cette démarche, poursuit-il. Celle-ci ne peut aboutir sans la capacité à s’accaparer une nouvelle culture, celle de la sphère civile avec ses usages propres et ses règles internes. » Il clos son propos en martelant la nécessité de se créer un réseau de contacts professionnels, à même de pouvoir proposer des opportunités d’emploi ou de solliciter par leur intermédiaire les organismes compétents.
Le troisième, Christophe Cheneau insiste davantage, avec un réel sens de l’humour, sur la meilleure façon d’aborder le privé. En appelant lui aussi à la modestie, il établit un parallèle avec le type d’approche utilisée lors de toute mutation dans un nouveau régiment : « On commence par observer, puis on cherche à comprendre le fonctionnement, la finalité, les rôles de chacun, enfin on intervient en proposant. » Il met en garde contre la perte de repères, « ce qui peut être vécu comme un véritable choc au lieu d’un nouveau challenge ; en regard, seule l’adaptabilité (indécrochable de tout bon militaire) doit l’emporter. » Il ajoute que s’il devait refaire sa reconversion, il constituerait en tout cas un réseau d’anciens ayant traversé cette épreuve. « Il serait un atout de première importance pour vérifier la cohérence de mon projet professionnel que je n’hésiterai pas à confronter à la réalité du terrain. ». Au passage, il en profite pour louer « l’esprit de corps cultivé à travers nos différentes affectations » et dont il décèle « une trace vivace dans l’esprit des membres d’Implic’action ». Et puisqu’il a eu l’heureuse idée d’être accompagné de son chef d’entreprise, le patron de Locafrais, l’occasion est donnée de lui poser une question sous forme de boutade : « N’avez-vous pas eu une idée saugrenue en embauchant un ancien sous-officier parachutiste ? » Eric Levet ne se démonte, en qualité d’ancien aspirant, il précise dûment qu’il connait les valeurs foncières des militaires, qu’elles sont précisément des « atouts précieux pour un employeur. ». Il ajoute qu’il est loin d’être déçu par ce recrutement… « même si son employé-modèle restait encore par trop obéissant ». Reproche qui, bien sûr, ne serait en être un…

Reprenant la parole pour définir les trois missions fondamentales d’Implic’action (Accompagner la mobilité professionnelle, briser l’isolement dès la sortie du quartier, permettre aux entreprises de disposer d’un vivier de femmes et d’hommes aux compétences transférables), Thierry Lefebvre cède le micro à Jean-Michel Lebec. Il s’agit de traiter de la 4ème mission majeure, sinon la plus essentielle de toutes, puisque cette dynamique constitue la plus-value d’Implic’action.

L’IMPORTANCE DU RESEAU POUR ATTEINDRE LE MARCHE CACHE DE L’EMPLOI…

Jean-Michel Lebec est bien connu du Web, il affiche environ 16000 contacts sur Viadeo, il est à ce titre « l’homme-reso » de l’association. Pour lui, il n’y a point de salut vers l’emploi hors la mise en contact direct d’homme à homme. Selon lui, cette mise en relation peut seule favoriser valablement l’accès au marche caché de l’emploi, ce no man’s land « où le centre est partout et où la périphérie n’est nulle part », lieu aussi secret qu’est magique le mot réseau, et où se concentrent tous les postes à pourvoir qui ne passent pas par les annonces. Il énonce l’impérieuse tâche de transformer chacun en acteur de sa propre reconversion. Enfin, spécialiste du domaine, il prodigue de précieux conseils sur l’art d’entretenir son propre réseau personnel et professionnel « travailler sa communication, savoir obtenir des entretiens ciblés, être visibles et probants… » Surtout, il importe que le réseau soit compris comme de « fréquents échanges de communication active » où les uns et les autres, en confiance, posent tout sur la table pour apprendre à se connaître et mesurer ce qu’ils peuvent s’apporter mutuellement, afin de « se recommander leurs contacts réciproques » In fine, pour attester du fonctionnement du réseau d’Implic’action, il fixe les rendez-vous prochains mettant en pratique la dynamique réseau à l’échelle de l’Implic’action « selon une organisation régionale, mais aussi par métiers. »

ADHERER A L’ASSOCIATION…

Sur la tribune, monte maintenant le secrétaire de l’association, Henry-Pierre Marquis, qui déroule le « parcours balisé » de l’implic’acteur. Après avoir brossé les modes d’information possibles (du bouche à oreille aux institutionnels en passant par les présentations collectives) et les modes d’inscription en place, il aborde l’abonnement qui permet à l’implic’acteur de disposer immédiatement et concrètement de services, tel que « participer au réseau, déposer des CV ou récupérer des offres d’emploi, de bénéficier d’aides de formation (en kit ou à la carte) voire d’accompagnement personnalisé ». A ce jour, les étapes du parcours de reconversion sont programmées ainsi : à l’issue d’une première rencontre avec un implic’actif (a priori, futur référent), l’implic’acteur est conduit soit vers un bilan de potentialités qui débouche sur un diagnostic d’employabilité, soit vers des conseils pour le guider, par exemple, à créer une société ou à reprendre une activité, ou aller vers un emploi salarié. « L’accès à l’emploi demeure l’objectif terminal et unique du parcours d’Implic’action ».

IMPLIC’ACTION EN LIGNE…

Eric Alfonsi termine cet exposé général en déployant les fonctionnalités du site internet : www.implicaction.fr. Cet expert Web2.0, concepteur de multiples sites, dont notamment celui de la Fédération des Sociétés d’Anciens de la Légion Etrangère, Legio patria nostra par laquelle il est lui-même passé, prouve la simplicité volontaire du dispositif adopté qui permet à tout internaute même débutant de rechercher toute information en un minimum de clic. De surcroît, le back-office autorise les membres à échanger de manière plus approfondie « entre eux, de manière libre et franche ». Dans cet espace d’expression, les informations abondent et les témoignages aussi bien que les conseils affluent.

En une heure trente, cette présentation officielle d’Implic’action a démontré combien cette association est opérationnelle, combien sa conception a été mûrie par « des gens de terrain qui sont passés de l’autre côté du mili » pour servir à tout personnel de la défense, a été spécialement travaillée pour être utile dans des conditions sociétales peu propices à trouver du travail.
Alors, certes elle est nouvelle, mais elle a tout d’une grande. En fait, Implic’action n’est pas une association de plus (quand bien même, ce serait une chance…), elle se veut être à juste raison un « réseau social communautaire de la Défense. » A nous, à vous de le faire vivre. La première pierre d’Implicaction a été posée en ce 8 octobre 2009, les fondations sont solides. Les implic’acteurs et les implic’actifs sont incités à rejoindre Implic’action pour que le maillage réseau soit le plus profitable
et ouvert possible.

Thierry LEFEBVRE

http://implicaction.fr

***FELICITATIONS & BONNE CHANCE! A SUIVRE...!***

Bien à vous,

Morgane BRAVO