Tuesday, July 29, 2008

***L'avenir de la France en numérique...***

***L'avenir de la France en numérique, par Michel Alberganti :

Tant en matière d'éducation et de culture qu'en termes de développement économique, l'importance des technologies numériques ne fait plus débat. Tout devient numérique au point de reléguer l'informatique, les télécommunications, la télévision, la presse et même Internet au rang de sous-catégories. Au moment où la croissance stagne et où les matières premières flambent, l'économie numérique s'inscrit ainsi dans les rares domaines porteurs d'avenir. En France, le commerce électronique a progressé de 9,1 % au premier trimestre (+ 8,3% en 2007, + 6,6% en 2006), selon l'institut GfK. Les ventes sur Internet ont atteint 2,4 milliards d'euros en 2007.

On comprend que de tels chiffres motivent le gouvernement, dont la dernière mouture comprend, pour la première fois, un secrétaire d'Etat chargé du développement de l'économie numérique auprès du premier ministre, en la personne d'Eric Besson. Fin juillet, ce dernier doit remettre à François Fillon les mesures qu'il préconise pour le "plan France numérique 2012". En juin, les Assises du numérique ont permis de collecter, dans toute la France, les propositions de nombreux acteurs, opérateurs, industriels, producteurs, associations ou utilisateurs. Cette intervention de l'Etat pourrait marquer le début d'une offensive, après une décennie consacrée au rattrapage du retard accumulé dans les années 1990. La première prise de conscience de la nécessité de réagir remonte à l'initiative de Lionel Jospin, en 1997, avec son programme d'action gouvernemental pour la société de l'information (Pagsi), une consultation publique préparatoire à une "loi Internet" en 1999.

Certes, depuis, la France a redressé la barre, en enregistrant même des succès comme le développement de l'accès Internet à haut débit par ADSL. Néanmoins, une note publiée le 15 juillet par le service des études et des statistiques industrielles (Sessi) du ministère des finances révèle un déficit persistant dans l'usage des technologies de l'information dans le domaine professionnel en entreprise. Le Sessi relève qu'en 2006, alors que toutes les entreprises de plus de dix salariés étaient équipées en informatique et que presque toutes avaient accès à Internet, seule la moitié de leurs salariés utilisaient un ordinateur et pas plus d'un tiers surfaient sur la Toile. Ces proportions atteignent 54 % et 42 % au Royaume-Uni, ou 58 % et 41 % en Allemagne. Le décalage persiste dans les usages. Or ce sont eux qui génèrent profits et emplois.

Preuve supplémentaire de l'ampleur du travail qui reste à effectuer, M. Besson a défini pas moins de 27 pistes de travail qui comportent près de 220 "premières mesures soumises au débat" des assises. De la réussite de chantiers comme ceux du très haut débit fixe (fibre optique) et mobile (attribution des fréquences), ainsi que de la création de contenus numériques tirant profit des nouvelles infrastructures, dépendra la place de la France dans l'économie numérique mondiale, qui entre désormais dans la phase finale de sa construction. Sans attendre la fin du rattrapage, l'heure est donc venue d'agir afin d'occuper une position de leader dans la course au numérique. De ce classement dépendra la part de la croissance économique dont la France pourra bénéficier.

Le plan France numérique 2012 sera-t-il à la hauteur d'un tel enjeu ? C'est toute la question. L'une des caractéristiques de cette action gouvernementale est de se mettre en place sans le moindre budget. M. Besson ne le cache pas, les caisses sont vides et il travaille à euro zéro... L'Etat est ainsi contraint à un exercice relativement nouveau. Privé de toute capacité de relance économique par ses propres deniers - ceux des contribuables -, il se retrouve dans une position qui préfigure peut-être celle qu'il devra adopter à l'avenir dans de nombreux domaines. Pour l'instant, cette démarche semble difficilement compatible avec certains des objectifs avancés. Ainsi, la première mesure mise en avant par M. Besson vise à "faire de l'accès à Internet un service public". Or, fin 2007, le nombre d'abonnés à Internet en France ne dépassait pas les 17,1 millions, dont 15,6 millions en haut débit.

PARTAGE DES RÔLES

Le gouvernement se fixe comme objectif d'atteindre la couverture du territoire à 100 % en haut débit fixe et mobile en 2012. Il veut, à cet horizon, que 4 millions de foyers au moins soient raccordés au réseau fibre optique, ce qui impose un investissement de 1 milliard d'euros par an. Tout le pari réside dans la capacité du gouvernement à convaincre les industriels de se lancer dans de telles dépenses sans que lui-même ne débourse un centime. Relever ce défi impose de créer un cadre administratif et juridique qui apporte des garanties suffisantes. Les sociétés ne joueront le jeu que si elles sont assurées de ne pas prendre des risques inconsidérés.

Les industriels ne semblent pas opposés à un tel partage des rôles. Ils ne réclament pas un plan calcul ou un plan câble supplémentaires. On connaît déjà le résultat de telles initiatives. Il reste qu'une telle position met l'Etat devant ses responsabilités. Ou bien il parvient à se moderniser en profondeur en supprimant lourdeurs et lenteurs, ou bien le nouveau contrat établi entre l'Etat désargenté et une industrie qui attend que la piste soit dégagée risque fort de faire long feu.

Les marges de manoeuvre du gouvernement sont également limitées par le périmètre affiché pour le plan France numérique 2012. Apparemment, il ne s'inscrit dans aucun mouvement d'ampleur européenne. Or, à l'évidence, ce n'est qu'à cette échelle que la bataille du numérique peut raisonnablement être conçue. La domination américaine sur les ordinateurs et les logiciels commence à être contestée par l'Inde et la Chine.

Que peut espérer une France isolée dans la bataille de titans qui se profile ? D'autant que l'enjeu ne réside pas uniquement dans le développement des pratiques. Les outils joueront un rôle essentiel. On peut le constater avec l'exemple des boîtiers "triple play" lancés sous l'impulsion de Free. Ce matériel innovant a joué un rôle décisif dans le développement de l'Internet à haut débit et de la télévision numérique en France. Que se passera-t-il pour la fibre optique ? Cherchera-t-on à créer un nouveau Minitel ou bien à constituer un leader avec les restes de l'industrie informatique et électronique européenne ? La question est posée par de nombreux acteurs français dont les entreprises peinent à dépasser le stade de la PME. Le plan France numérique 2012 ne semble guère en mesure d'y répondre.

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Courriel : alberganti@lemonde.fr.

Michel Alberganti (Service Futurs)
30.07.08.
LE MONDE

***Laurence Parisot invite les blogueurs à "l'Université d'été" du MEDEF***


***Pour la deuxième année consécutive, Laurence Parisot, présidente du MEDEF invite les blogueurs à la rejoindre à l'occasion de l'université d'été du mouvement patronal. L'opération se déroule du 27 au 29 août à l'école Polytechnique. 180 intervenants prestigieux, dont sa Majesté le roi Abdallah II de Jordanie, ont d'ores et déjà accepté de participer à ce rendez-vous qui accueillera plus de 4000 participants.

Une 10e édition de l'Unviversité d'été qui, à l'image de son titre Voir en grand, promet d'être celle de tous les records !

Cette année des moyens exceptionnels à la disposition des blogueurs qui souhaitent participer à cette opération de Live Blogging :

* Accréditation de type "Presse" avec badge spécifique,
* Une aide à l'identification et à la prise de contacts avec intervenants et participants,
* "Espace blogueurs" avec du WiFi à très haut débit, des ordinateurs en libre service, des consoles de montage vidéo sur PC... pour rédiger leurs billets dans une ambiance conviviale,
* Un plateau "Web TV", avec régie et 3 caméras, pour réaliser des interviews et participer à des débats,
* Un pool d'images vidéos mutualisées sur le serveur (du MEDEF) de streaming flash (players embed à disposition),
* Une opération de Cross Blogging sur le blog de l'événement www.voir-en-grand.fr où chacun disposera d'un compte auteur et d'une fiche profil,
* Un compte Twitter pour le micro-blogging,
* Et plein de surprises encore...

Si vous souhaitez participer à cette opération, contact :

fchevalier@medef.fr

Cordialement,

Morgane BRAVO

Friday, July 25, 2008

***17 JUILLET : MERCI POUR VOS MESSAGES...!***


***MON ANNIVERSAIRE***

Je tiens à vous remercier pour vos voeux, gâteau, fleurs...d'Anniversaire!!! :-) :

Mes amis, mes réseaux, Facebook, Networking, UMP...!

Amicalement vôtre,

Morgane BRAVO

***Loi de modernisation de l’économie : ce qu’elle va changer***


***Définitivement adoptée le 22 juillet dernier, la loi de modernisation de l’économie va permettre de soutenir le pouvoir d'achat, la croissance et l'emploi. Concurrence, grande distribution, petites entreprises, voici en quelques points ce qui va changer.

* * *

Avec pour objectif de stimuler la croissance de la France et d’améliorer le pouvoir d’achat des Français, la loi de modernisation de l’économie (LME) est l’un des textes les plus ambitieux de cette première année de mandat, en matière économique. Qu’est-ce que cette loi va réellement changer dans la vie des Français ? Eléments de réponses.

***

Permettre à tous ceux qui veulent entreprendre de le faire

Premier axe de la LME, et première mutation de taille : la création d’entreprises sera encouragée et les entrepreneurs auront les moyens de pérenniser et de développer leur activité. Pour cela, le texte prévoit de :

Créer un statut simplifié pour les entrepreneurs individuels : « l’autoentrepreneur », qui sera exonéré d’immatriculation et pourra payer ses charges de manière forfaitaire. Ainsi, toute personne (salariée, sans emploi, retraitée) pourra exercer une activité indépendante comme complément de revenu, sans formalités administratives ni obligations fiscales trop complexes.

Faciliter les procédures pour les PME : il s’agit de lever tous les freins à leur développement.
- la LME raccourcit les délais de paiement qui, trop longs, pénalisent souvent les PME : de 67 jours en moyenne aujourd’hui, ils passeront à 60 maximum, et le non-respect de ces délais sera plus durement sanctionné.
- elle propose d’expérimenter pour cinq ans un traitement préférentiel en faveur des PME dans les marchés publics.
- elle facilite la reprise et la transmission des petites entreprises : en cas de reprise, la taxation sera réduite de 5% à 3%, en cas de transmission à la famille ou à des salariés, elle sera supprimée.

***

Stimuler la concurrence pour faire baisser les prix

Le deuxième profond changement que va opérer la LME, c’est celui de l’amélioration du pouvoir d’achat des Français par la baisse des prix. Or pour baisser les prix, il faut faire jouer la concurrence et donner plus de choix au consommateur. Il s’agit donc de :

Permettre aux distributeurs et aux producteurs de négocier librement les prix, ce qui revient à supprimer totalement le système des marges arrières, au profit d’une négociation plus transparente.

Favoriser l’installation de nouveaux supermarchés.
- les règles d’urbanisme seront allégées : les enseignes pourront s’installer sans contraintes administratives jusqu’à 1000m² de surface, contre 300m² aujourd’hui.
- toutefois, des garanties sont mises en place pour les élus locaux, qui conserveront un certain contrôle sur l’implantation de surfaces commerciales sur leur territoire : les maires des communes de moins de 20 000 habitants pourront saisir la Commission départementale d’aménagement commercial (CDAC) avant l’ouverture d’un magasin entre 300 et 1000m².

Lutter contre les comportements anticoncurrentiels : une Autorité de la concurrence sera créée. Elle aura pour mission de sanctionner sévèrement les abus de puissance du côté des distributeurs.

Instaurer des soldes « libres » : parce que les soldes sont un moment d’opportunité à la fois pour le vendeur et pour l’acheteur, la LME permet aux commerçants de fixer eux-mêmes, à n’importe quel moment de l’année, deux semaines de soldes « libres ». En contrepartie, la durée des deux périodes de soldes annuelles sera ramenée de six à cinq semaines.

Mieux protéger les petits commerces : une taxe additionnelle sera prélevée sur le chiffre d’affaire des grandes surfaces, et sera reversée aux petits commerces sous forme d’aide financière.

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Relancer la croissance de la France

Pour dynamiser la croissance française, il faut non seulement agir au plan national, mais également prévoir les aménagements nécessaires à la relance de l’attractivité du pays au niveau international. Pour une France plus compétitive, la LME prévoit de :

Développer l’accès à l’internet à très haut débit : les immeubles neufs seront précâblés, et les immeubles existants progressivement raccordés à la fibre optique. Ainsi, au moins quatre millions de ménages devraient être équipés du très haut débit d’ici 2012.

Attirer les talents étrangers : les cadres étrangers de haut niveau seront incités à venir travailler en France par des mesures fiscalement avantageuses.

Généraliser le livret A à toutes les banques : une exigence de la Commission européenne qui permettra à la France de mieux gérer son épargne, et d’améliorer, grâce aux intérêts, le financement du logement social par l’intermédiaire de la Caisse des dépôts.

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Des mesures concrètes donc, pour des objectifs chiffrés : Christine Lagarde, ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, a d’ores et déjà annoncé que la LME permettra de générer, selon ses estimations, un gain de croissance de 0,3% et un gain de pouvoir d’achat de « 1000 euros par an et par ménage à partir de 2009 ».

*En savoir plus,
Le site spécial LME : Lien ci-dessus!

*Paris est la douzième ville la plus chère au monde pour les expatriés*


***Moscou (Russie) reste pour la troisième année consécutive la ville la plus chère au monde pour les expatriés, selon une enquête Mercer Consulting, parue jeudi 24 juillet. Paris remonte de la treizième à la douzième place, indique ce classement qui a passé au crible 143 villes et comparé 200 articles sur le logement, le transport, la nourriture, l'habillement, les appareils ménagers ou encore les loisirs.

Derrière Moscou, on trouve Tokyo (Japon) qui gagne deux places par rapport à l'an dernier. A l'inverse, Londres perd un rang et se classe troisième. Oslo (Norvège) remonte de six places et passe en quatrième position tandis que Seoul (Corée du sud) occupe le 5e rang. Asunción, au Paraguay, demeure cette année encore, la ville la moins chère de ce classement.

L'édition 2008 montre que les villes européennes et asiatiques sont les plus chères pour les expatriés. Cette année, "la faiblesse du dollar entraîne des changements significatifs dans le classement", analyse le cabinet d'études.

"La conjoncture actuelle du marché a entraîné une faiblesse encore plus accrue du dollar et le taux de change euro-dollar impacte les résultats et engendre des changements significatifs dans le classement de 2008 par rapport à 2007", explique dans un communiqué Yvonne Traber, principal et research manager chez Mercer.

"Bien que les villes les plus chères d'Europe de l'Ouest et de l'Asie se maintiennent toujours dans le Top 20, les villes de l'Europe de l'Est, du Brésil et d'Inde gagnent des places dans le classement. A contrario, certaines villes telles que Stockholm et New York apparaissent, en comparaison à ces changements, plus abordables", ajoute-t-elle.

Relaxnews
jeudi 24 juillet 2008

*La France manque de compagnies aériennes « low cost »*


***A l'heure où le gouvernement table sur la clientèle « low cost » pour doper le tourisme dans les régions, un rapport révèle que la France accuse du retard par rapport à ses voisins.

Malgré une forte expansion des compagnies « low cost », la France est à la traîne. Selon le Conseil national du tourisme, la part des compagnies à bas coûts dans l'activité des aéroports français a été de 15,7% l’an dernier alors qu’elle représente environ un quart des vols réguliers en Europe.

« La France se fait doubler par l'Espagne qui mise sur les low cost pour devenir la première destination touristique en Europe », note Jacques Sabourin, président du groupe de travail en charge du rapport.

Divers freins empêchent le développement des « low cost » en France. Et en premier lieu, le niveau trop élevé des taxes aéroportuaires. « La France n'est pas compétitive en termes de taxes imposées aux passagers, nettement plus élevées qu'ailleurs en Europe », estime Jacques Sabourin. Selon les calculs de Ryanair, les charges pour un billet de 44 euros sont de 25 euros sur un aéroport français, contre 7 euros sur l'ensemble de son réseau.

Le rapport pointe également du doigt la « position ultra-dominante d'Air France ». La compagnie aérienne nationale a bénéficié « pendant longtemps du soutien des pouvoirs publics soucieux de disposer d'un champion national », avant de lancer en 2007 sa propre « low cost », Transavia, soulignent les rapporteurs.

Cependant, Air France risque de voir de nouveaux concurrents surgir dans le ciel français. Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, a prôné en juin l'ouverture de nouvelles dessertes « low cost », afin de « faciliter l'arrivée » des touristes « sur l'ensemble du territoire ».

Autre verrou au « low cost » dénoncé par le rapport, le manque de créneaux horaires en région parisienne.

Un nouvel aéroport à bas coûts dans la région parisienne
Si la France accuse du retard dans plusieurs domaines vis-à-vis des autres pays européens, l’activité des compagnies à bas coûts a néanmoins bien progressé ces dernières années. Alors qu’en 2001 seules quatre compagnies desservaient quinze aéroports métropolitains, désormais ce sont 23 compagnies qui relient 38 plate-formes.

Dans le même temps, le nombre de passagers est passé de 2 à 23 millions par an. Près de 70% d'entre eux ont été transportés en 2006 par les deux principales compagnies, Easyjet (40%) et Ryanair (27%).

Enfin, en termes de trafic aérien entre la France et le reste de l'Europe, la part des « low cost » a bondi de 4,4% à 21,6% entre 2001 et 2006.

Pour accroître la clientèle « low cost », les rapporteurs prônent la création d'un nouvel aéroport à bas coûts dans la région parisienne, après celui de Beauvais, et l'ouverture d'aérogares spécifiques dans les aéroports provinciaux.

Source AFP
21/07/2008
L'Expansion

*La fuite des cerveaux européens progresse lentement mais sûrement*

***Une étude du CEPII a observé la « fuite des cerveaux » européens à travers les recensements américains. S’il progresse, l’ampleur du phénomène est cependant à relativiser en France. Seuls 1,5% des chercheurs français ont émigré pour les Etats-Unis entre 1991 et 2000.

L’Europe a de la fuite dans les idées. Des inquiétudes s’expriment fréquemment sur l’expatriation des « cerveaux » vers l’étranger, en particulier les Etats-Unis. Le Vieux continent ne saurait pas retenir ses meilleurs talents alors qu’il supporte le coût de leurs formations.

Une étude du Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII) vient de nouveau accréditer ce phénomène. En observant les statistiques des recensements américains, elle constate que l’expatriation européenne, bien que faible, est en augmentation. Les expatriés sont, en outre, plus instruits que la moyenne et cette sur-représentation des plus diplômés est-elle aussi en progression.

Pourtant, en Europe, comme aux Etats-Unis, la principale source de création de richesse réside désormais « dans les savoirs et les compétences, davantage que dans les ressources matérielles », rappelle l’auteur de l’étude, Ahmed Tritah . A l’instar des biens et des services, la demande pour ces compétences et ces talents s’adresse à un marché de plus en plus globalisé et concurrentiel. L’enjeu est d’importance. Aussi suscite-il fréquemment des mises en garde.

En France, un rapport de la commission économique du Sénat s’était penché sur la question. A l’échelle du continent, le troisième rapport européen sur les sciences et les technologies observait déjà que l’Europe forme un grand nombre de diplômés de l’université, de docteurs et d’étudiants en formation post-doctorale, mais qu’un nombre important d’entre eux allaient exercer leurs talents ailleurs. Au risque de compromettre l’objectif, fixé par le Conseil européen de Lisbonne, de faire de l’Europe l’économie fondée sur le savoir la plus compétitive au monde.

L’étude du CEPII a exploité les données des quatre recensements américains effectués entre 1980 et 2006. Que constate-t-elle précisément ? Dans tous les grands pays européens, à l’exception de l’Italie, les taux d’expatriation augmentent. Plus de la moitié des expatriés européens sont d’origine allemande ou anglaise. Avec respectivement 0,3% et 0,4% des 25-64 ans expatriés aux Etats-Unis en 2006, l’Espagne et la France ont les taux les plus faibles d’Europe, dont la moyenne est de 1,1%. Mais ce sont ces deux pays qui connaissent la plus forte progression relative. Entre la cohorte de 1981-1990 et celle arrivée aux Etats-Unis entre 1996 et 2006, le taux d’expatriés français a augmenté de 77%.

En outre, cette émigration est de plus en sélective, concernant davantage les plus diplômés. La sélectivité est d’autant plus grande que le niveau moyen d’études de la population est faible. Ainsi, au Portugal, les expatriés aux Etats-Unis ont suivi un nombre d’années d’études près de deux fois plus élevé que leurs compatriotes. Et la sur-représentation des plus diplômés est systématiquemet plus forte pour les cohortes d’émigrants les plus récentes, Royaume-Uni excepté.

Concernant les seuls chercheurs, leur taux d’expatriation est partout sensiblement plus élevé pour la cohorte 1991-2000 que pour la cohorte précédente. Mais c’est en France que ce ratio reste le plus faible : seul 1,5% des chercheurs ont émigré aux Etats-Unis entre 1991 et 2000.

Cette étude du CEPII invite à mettre en perspective cette fuite des cerveaux européens et les objectifs non tenus de la stratégie de Lisbonne. En mars 2000, le Conseil européen, réuni dans la capitale portugaise, avait appelé à augmenter les dépenses de recherche et développement au sein de l’Union. A la fin des années 90, celles-ci atteignaient en moyenne 1,8% du PIB dans l’UE à 15. L’objectif était de les porter à 3% du PIB en 2010. Or dans la majeure partie des Etats membres, ce ratio n’a guère augmenté et reste inférieur à 2%.

Hugo Lattard
25/07/2008
L'Expansion

Tuesday, July 22, 2008

*La France, pays le plus attractif d'Europe pour les entreprises?*


***La France est le pays européen le plus attractif en termes de coûts d'implantation des entreprises, d'après une étude du cabinet KPMG présentée mardi en présence de Christine Lagarde. A l’échelle mondiale, la France se classe quatrième, preuve que le pays peut être compétitif « malgré le taux de change » élevé de l'euro, a déclaré Jean-Luc Decornoy, président de KPMG France.

Parmi les points forts de l’Hexagone, l’étude met en avant la compétitivité des salaires qui, si l'on exclut les prélèvements sociaux, seraient les plus compétitifs du G7.

Par ailleurs, la France figurerait au premier rang européen et au deuxième ou troisième rang mondial, selon les critères, dans le domaine de la recherche et du développement, estime le cabinet. Et elle serait le premier pays européen et le quatrième mondial en matière de production industrielle, de fabrication de logiciels et d'activité des services aux entreprises.

Les auteurs de l’étude ont également détaillé les faiblesses de l’Hexagone, en insistant sur l’éducation, un critère pour lequel la France recule et apparaît au septième rang sur neuf pays. Parmi les autres points noirs, KPMG cite la location de bureaux, les télécommunications et les impôts fonciers.

A la suite de la présentation, Christine Lagarde a déclaré que le gouvernement allait veiller à « ne pas augmenter la charge (fiscale) qui pèse sur les entreprises ». Une « modification de la taxe professionnelle » est notamment à l'étude, a rappelé la ministre. Elle fera l'objet d'un arbitrage de Matignon et de l'Elysée d'ici la fin du mois, précise-t-on dans l'entourage de Christine Lagarde

L'Expansion
22/07/2008

Friday, July 18, 2008

*Le développement de l'éolien induirait un surcoût d'un milliard d'euros par an*


***Le développement de l'éolien en France suivant les objectifs du Grenelle de l'environnement induirait un surcoût pour la collectivité de 1 milliard d'euros par an sur la période 2008-2020, affirme l'Institut Montaigne dans une étude rendue publique vendredi.
L'énergie éolienne "n'est pas la solution économique la plus appropriée" pour limiter les émissions de gaz à effet de serre en France, indique l'étude publiée par ce cercle de réflexion réunissant universitaires et dirigeants d'entreprise.

"L'objectif de 25.000 mégawatts (MW) affiché lors du Grenelle de l'Environnement se traduirait, s'il était atteint, par un surcoût annuel moyen de 1 milliard d'euros sur la période 2008-2020 et dépasserait les 2,5 milliards au-delà de 2020," affirme l'étude, qui en déduit un surcoût de 100 euros par an et par foyer.

Ses calculs prennent en compte l'investissement initial, le coût de maintenance, le coût lié à l'augmentation des réserves "d'équilibrage" qui permettent de répondre aux aléas du vent, et le coût lié au renforcement du réseau de transport d'électricité.

Les chiffres et le mode de calcul retenus dans cette étude ne font cependant pas l'unanimité.

Pour André Antolini, président du Syndicat français des énergies renouvelables (SER), ces chiffres ne sont "pas conformes à la réalité" et font abstraction des analyses menées par la Commission de régulation de l'énergie (CRE).

"Le ministère de l'Ecologie et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) ne sont pas des gens irresponsables qui s'apprêtent à mettre en place une politique qui aboutirait à de tels surcoûts", a-t-il expliqué.

"C'est la technologie la plus mature en terme d'énergies renouvelables et la France a le second gisement de vent en Europe", a-t-il souligné.

Au 31 mai, la puissance installée de production d'électricité d'origine éolienne en France représentait 2.500 MW.

Selon le gestionnaire du réseau français de transport d'électricité RTE, cette production pourrait doubler d'ici 2010.

Si le développement de l'éolien s'est accéléré ces dernières années, la France reste cependant loin derrière l'Allemagne, qui disposait en 2007 d'une puissance installée en éolien de 22.000 MW, et l'Espagne, avec 15.000 MW.

PARIS (AFP)

Tuesday, July 15, 2008

***Discours de M. le Président de la République : Ingrid Bétancourt***

***Discours de M. le Président de la République lors de la remise des insignes de chevalier de la Légion d’Honneur à Mme Ingrid Bétancourt.

14-07-2008

*Lien ci-dessus!

Sunday, July 13, 2008

*L'UMP cherche toujours le bon réglage*


***Le secrétaire général et ses trois adjoints peinent à redonner au parti son dynamisme d'avant la présidentielle.

«Il n'y a jamais de mauvais employés, il n'y a que des mauvais patrons !» Ce slogan a d'habitude les honneurs des manifestations. Mais aujourd'hui, il est asséné par un cadre de l'UMP. «Je suis triste de ce que notre parti est en train de devenir, explique-t-il. Ils retournent à leurs anciennes lubies. On se balance à nouveau à la figure les étiquettes RPR, UDF ou DL, pour toute explication.» Inquiétude isolée d'un salarié militant dans un parti qui ressemble à une grosse entreprise ? Pas vraiment. «On a demandé à tout le monde de se calmer, raconte un autre. Sur le terrain, les militants et les cadres locaux ne comprennent plus ce qui se passe Rue la Boétie», au siège de l'UMP. La parution dans la presse, ces derniers jours, de plusieurs échos stigmatisant les uns, les autres et le plus souvent Patrick Devedjian n'est pas faite pour les rassurer.

En la matière, les critiques à l'encontre du secrétaire général de l'UMP ne sont pas nouvelles. «Il y a un problème structurel avec Patrick Devedjian», affirme un ministre. «On fait illusion mais tout cela n'est pas très efficace», se plaint un dirigeant politique. «La direction est complètement verrouillée et rien ne semble pouvoir la faire varier», ajoute un cadre.

Rien qui puisse tourmenter outre mesure Patrick Devedjian, qui dit appartenir «à la droite de résistance ».«On me reproche tout et son contraire», ironise-t-il avec un sourire qu'on lui a beaucoup vu depuis qu'il occupe ces fonctions à l'UMP. «Je ne suis prêt à rien lâcher, poursuit-il. Il y a des impatiences à occuper ma place mais ça ne m'émeut pas parce que j'ai la confiance du président de la République.» Le secrétaire général de l'UMP a ainsi reçu les félicitations de Nicolas Sarkozy à l'issue de la dernière convention du parti sur l'Europe.

Les candidats à la succession de Devedjian devront donc patienter. À l'Élysée, on le concède d'une certaine manière : «Quoi qu'il se dise, la situation est figée aujourd'hui et il n'y a pas vraiment de raison d'y changer quoi que ce soit avant un bon moment». Le bon moment pourrait être un remaniement du gouvernement, qui n'est pas attendu avant 2009. En tout cas, pas avant les échéances internes à l'UMP qui doivent renouveler le conseil national, en novembre prochain.

Car dans l'entourage du président de la République, on considère aujourd'hui que les réglages ont déjà été faits. Depuis la défaite des municipales, Nicolas Sarkozy, qui confie en privé qu'il regrette d'avoir quitté la présidence de l'UMP, reste de facto le véritable patron du parti. Il a d'ailleurs veillé au renouvellement de l'équipe collégiale qui dirige l'UMP. Patrick Devedjian a été confirmé à son poste de secrétaire général mais il est encadré, depuis mars, par deux poids lourds du gouvernement, Xavier Bertrand et Nathalie Kosciusko-Morizet, auxquels s'est joint un ultrasarkozyste en juin, le maire de Nice Christian Estrosi.Tous les quatre doivent se retrouver pour la première fois à l'occasion d'un déplacement à Nice, le 25 juillet, en lançant la caravane de l'UMP, qui doit faire la tournée des plages.

Le quadrige a pour mission de redonner son élan à l'UMP. Xavier Bertrand et Nathalie Kosciusko-Morizet le répètent à l'envi, le parti doit retrouver le dynamisme qu'il avait avant l'élection présidentielle, quand Nicolas Sarkozy le présidait. À charge pour Xavier Bertrand de remettre sur pied les fédérations en difficulté : le ministre du Travail, avec sa casquette de secrétaire général adjoint, aura visité dix-sept régions en trois mois. Sa collègue de l'Écologie, pour sa part, doit faire revivre le débat au sein du parti et préparer les échéances à venir en transformant l'UMP en boîte à idées.

Guerre des princes

Quant à Christian Estrosi, dernier nommé en date, on connaît ses appétences pour la vie du groupe à l'Assemblée nationale. Mais «il doit encore trouver sa place dans l'appareil UMP», explique un secrétaire national, inquiet de l'entrée en lice d'un nouveau secrétaire général potentiel. «En mars, Christian avait refusé une délégation générale taillée sur mesure pour lui, poursuit-il. Il n'a accepté d'être l'adjoint de Patrick Devedjian que sur insistance de Nicolas Sarkozy».

Dans l'entourage du président, on l'assure : la nomination de Christian Estrosi est «un gage de stabilité pour le parti». C'est pourtant une guerre des princes que redoutent plusieurs cadres et élus. «Si Xavier Bertrand devait un jour être appelé au secrétariat général, analyse un ancien ministre, ce serait un véritable casus belli pour Jean-François Copé. Christian Estrosi et Jean-François Copé sont en train de se découvrir de vrais intérêts communs.»

Paradoxe, on en revient alors à Patrick Devedjian. «Tant qu'il est là, il focalise toutes les critiques, explique un député peu suspect de sympathie pour son collègue des Hauts-de-Seine. Il serait dangereux pour tout le monde de retirer le couvercle trop tôt.» Est-ce le secret de sa longévité ? Lui a une explication beaucoup plus simple : «Un jour, tout le monde comprendra peut-être que l'ambition ne suffit pas. C'est le président qui décide.»

Jean-Baptiste Garat
11/07/2008
Le Figaro

*Photo : Patrick Devedjian, ici en compagnie de Christian Estrosi, Jean-François Copé et Xavier Bertrand (de gauche à droite), lors du conseil national de l'UMP, le 5 juillet. «On me reproche tout et son contraire», ironise le secrétaire général. (Paul Delort / Le Figaro)

Saturday, July 12, 2008

*L’Ile-de-France avant-dernière !*

***L’agence de notation Public Evaluation System (PES) vient de publier un classement sur la gestion des régions françaises. L’Ile-de-France se classe 21eme sur 22, occupant ainsi l’avant-dernière place !



Roger KAROUTCHI constate que ce classement réalisé par un organisme indépendant constitue une sanction sévère contre la gestion de l’exécutif de gauche de la région Ile-de-France. L’augmentation de plus de 60 % des impôts régionaux depuis 2004 et le poids de la dette qui s’est également accrue de 25 % en quatre ans expliquent le mauvais classement de la région Ile-de-France.

Wednesday, July 9, 2008

*Paris affichait un déficit commercial de 4,7 milliards en mai 2008*


***Le déficit du commerce extérieur de la France s'est accru en mai à 4,738 milliards d'euros, un montant supérieur aux attentes, contre 3,739 milliards d'euros le mois précédent, selon les données CVS/CJO publiées par les Douanes.
Le déficit d'avril a été révisé en légère hausse après une première estimation de 3,716 milliards annoncée il y a un mois.

Onze économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un déficit de 4,0 milliards d'euros en mai.

Les exportations FAB ont diminué à 34,719 milliards d'euros (contre 35,313 milliards en mars), tandis que les importations ont augmenté à 39,457 milliards (contre 38,052 milliards), après trois mois de baisse.

La France a vendu en mai 20 Airbus qui lui ont rapporté 831 millions d'euros après 22avions pour 1.112 millions d'euros en avril.

Sur les cinq mois de janvier à mai, le déficit cumulé atteint 18,696 milliards d'euros contre 12,188 milliards en janvier-mai 2007.

Le déficit du commerce extérieur français en mai contraste avec l'excédent de 14,6 milliards annoncé au même moment par l'Allemagne, dont les exportations ont pourtant sensiblement ralenti en mai. Les chiffres de l'ensemble de la zone euro seront publiés le 18 juillet.

Véronique Tison
PARIS (Reuters)
9/07/2008

*Photo d'archives/REUTERS/Thierry Roge

*Le commerce extérieur de l'Ile-de-France - Résultats...*


***La CRCI Paris - Ile-de-France réalise chaque année, en partenariat avec la direction interrégionale des Douanes d'Ile-de-France et le CROCIS de la CCIP, un document très complet qui décrit l'ensemble des échanges de la région Ile-de-France avec ses différents partenaires étrangers. On y trouve notamment des analyses par produit, pays et département de l'Ile-de-France.

**Résultats du commerce extérieur du 2ème semestre 2007
16 avril 2008
(Données corrigées des variations saisonnières)

*Lien ci-dessus!

Tuesday, July 8, 2008

*Le Tram T2 fermé cet été entre Puteaux et La Défense*


***Des travaux auront lieu cet été sur la ligne T2. Il s'agit de préparer son prolongement vers Bezons. Le tramway ne circulera pas entre Puteaux et La Défense du 20 juillet au 17 août inclus. Des trains transiliens assureront la liaison entre les 2 gares, toutes les 13 minutes en moyenne, signale la RATP.

L'extension de la ligne T2 vers le nord jusqu'à Bezons devrait être achevée à la fin de l'année 2011.

7 nouvelles stations seront réalisées : 1 à Courbevoie, 2 à la Garenne-Colombes, 3 à Colombes et 1 à Bezons.

De nouvelles possibilités de correspondances seront aussi offertes : aux pôles d'échanges du pont de Bezons, de la place de Belgique et de la Défense.

Monday, July 7, 2008

***« L'avenir de la Télévision Publique et la place des médias dans notre société »***


Jean-François Copé, dans le cadre du Club Génération France.fr, qu'il a créé avec Yves CENSI, Luc CHATEL et Christian JACOB, a organisé une grande soirée
le 25 juin à 20h00 à Paris à l'Hôtel Concorde Lafayette.

Thème

« L'avenir de la Télévision Publique et la place des médias dans notre société »

En restant fidèles à sa marque de fabrique d'origine, 0% petites phrases, 100% débats d'idées.

Et en présence de :

Claude Askolovitch, journaliste au Nouvel Observateur, Michel Drucker, animateur sur France 2, Elisabeth Lévy, journaliste, Jean-Marc Morandini, animateur sur Europe 1 et Direct 8, Sylvie Maligorne, journaliste à l'Agence France Presse, Alain Weill, président de NextRadioTV (Bfm TV, BFM Radio, RMC Info

*Photos : Morgane BRAVO



Michel Drucker, animateur sur France 2






Jean-Marc Morandini, animateur sur Europe 1 et Direct 8


Claude Askolovitch, journaliste au Nouvel Observateur

Jean-François Copé, Président du groupe de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) à l'Assemblée nationale.




***Débats très intéressants...! A SUIVRE...!***


Bien à vous,
Morgane BRAVO

Saturday, July 5, 2008

***FETE DE LA MUSIQUE ***PARIS


***A l’occasion de la fête de la musique :

Roger Karoutchi, Secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement, auprès du Premier ministre
Président du groupe UMP au Conseil régional d’Ile-de-France

&

Fadela AMARA
Secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville, auprès de la ministre du Logement et de la Ville

Ont convié à "l'Hôtel de Clermont"













*Photos : Morgane BRAVO

***FETE DE LA MUSIQUE A PARIS***

***A l’occasion de la fête de la musique,

Yves Jégo
Secrétaire d’Etat chargé de l’Outre-Mer
Maire de Montereau-Fault-Yonne

a souhaité organiser des concerts dans les jardins de l'Hôtel de Montmorin :

Cinq artistes originaires de différentes collectivités d’Outre-Mer sur la scène de la rue Oudinot dont l’humoriste réunionnais Manu Payet (NRJ, Comédie…).

Au programme :

18h - Lynnsha (R&B)
19h - Bat'ker (pop acoustisque)
20h - Manu Payet
21h - Black Island (reggae, kaneka, rock)
22h - Bakarï (fusion électrique des musiques caraïbéennes et afro-américaines )






Yves Jégo
&
Michèle Alliot-Marie







*Photos : Morgane BRAVO

*** A Paris à l'Assemblée Nationale : Premières rencontres de "Décider Ensemble"***

***Premières rencontres de "Décider Ensemble", le jeudi 3 juillet 2008 à l’Assemblée nationale sur le thème :

« Un exemple de concertation : le débat public pour la refonte de l’usine d’épuration Seine-Aval »

Programme :

* Présentation des Rencontres de « Décider Ensemble »
Bertrand Pancher, Président de Décider Ensemble, Député de la Meuse

*Le débat public et les spécificités de Seine - Aval
Philippe Marzolf, Vice-président de la CNDP

*Témoignages : les acteurs du débat public Seine - Aval
Les associations locales et le débat public Seine – Aval :
Yorghos Remvikos, association les Amis de la Terre
Quel rôle et quel apport dans le débat public ?

*Les élus face à la participation
Jacques Myard, député maire de Maison Laffitte
Comment les élus s’inscrivent-t-ils dans le débat public ? Quelles sont leurs relations avec
les autres élus impliqués ?

*Concertation, décision et territoires : débat entre acteurs et experts

Intervenants :
Philippe Marzolf, Vice-président de la CNDP
Michel Vampouille, Vice-président du Conseil Régional d’Ile-de-france
Rollon Mouchel-Blaisot, Sous-préfet de Saint-Germain-en-Laye
Experts / interpelants :
Jean-Michel Fourniau, INRETS
Cécile Blatrix, Université Paris 13
Gabriela Pfeifle, INERIS
Philippe Subra, Institut Français de Géopolitique

*Conclusion des débats
Bertrand Pancher, Président de Décider Ensemble, député de la Meuse

***Plus de 160 personnes. Débat très intéressant!

*Cocktail dans les salons de la Questure


Bertrand Pancher,
Président de Décider Ensemble, député de la Meuse








Aurélien Sautière
Chargé de mission,
Décider Ensemble



Morgane BRAVO












*Photos : Morgane BRAVO

Thursday, July 3, 2008

***INGRID BETANCOURT : LIBRE!***

***LE PARVIS DE L'HOTEL DE VILLE A PARIS
3 Juillet 2008***











Florence AUBENAS









*Photos : Morgane BRAVO